Conclusion pour cette partie

Cette conclusion pour revenir maintenant sur mon intime conviction que notre Terre participe singulièrement à la vie des êtres vivants que porte cette planète. c'est un peu la toile de fond des deux parties qui constituent la matière de ce livre. Le bain électromagnétique de son corps éthérique dans lequel nous sommes immergés nous l'a fait apercevoir.

Nous rejoignons ainsi la sensibilité des anciens Grecs et de tous ceux qui considèrent cette Terre comme un être vivant. Le biochimiste Britannique, James Lovelock dans un ouvrage devenu un best seller : « La Terre est un être vivant » a repris au panthéon de la Grèce antique le nom poétique de la Déesse Gaïa. Les anciens avaient en effet déifié notre planète. Lovelock rappelle ce que nous ressentons profondément. Ce ressenti est à l'opposé du courant scientifique traditionnel qui considère notre globe comme un composé de corps chimiques dans lequel la vie est apparue par hasard. La théorie de ce savant est que la vie s'est adaptée à la Terre, certes, mais qu'elle a adapté notre monde à ses propres besoins dans une interaction incessante. Comme notre corps humain a ses propres régulations pour conserver ses équilibres (on pense à cette température de 37°), la planète Terre s'est ingéniée à garder une température moyenne de 13°. Pour ce savant ce chiffre était déjà le même il y a plus de 3 milliards d'années quand la vie est apparue sur notre globe. De la même manière elle a gardé un taux de salinité des océans très précis de 34/1.000 malgré la quantité énorme de sel... Sa concentration en oxygène est demeurée stable au chiffre de 21%. Dans un rapport de 1/5 avec l'azote de l'atmosphère. Lovelock nous rappelle que le soleil est aujourd'hui d'1/4 plus lumineux et plus chaud qu'à l'époque du début de la vie sur notre planète. Il faut donc que les organismes se soient mis à puiser une plus grande quantité de carbone pour réduire d'autant l'effet de serre.

Tout se passe donc comme si Gaïa s'était dotée d'un thermostat pour réguler et compenser la chaleur solaire. Sans « la vie » nous fait remarquer ce savant la terre serait insupportable avec une température voisine de + 290° ! Il y aurait belle lurette que nos océans auraient été asséchés et que notre Terre serait très semblable à Vénus. Tout cela est loin d'être une plaisanterie. On reste même admiratif devant autant de processus de correction isostasie, homéostasie dont la régulation de l'ozone n'est qu'un des éléments... Gaïa a maintes fois fait la preuve qu'elle était capable de survivre à des catastrophes majeures dont celle, d'il y a 65 millions d'années qui aurait causé l'extermination des dinosaures et avec elle celle des 2/3 des espèces animales et végétales existant à cette époque.

A chaque fois la vie est repartie avec une nouvelle force si bien que Lovelock pense que Gaïa s'adaptera encore même à l'anéantissement de ses forêts... mais il reconnaît que cette survie pourrait bien se réaliser avec l'extinction de la race humaine. De plus en plus nous prenons conscience, là aussi, de certaines limites à ne pas dépasser. Ce savoir ou tout simplement ce bon sens, les civilisations restées proches de la nature le possédaient. Les anciens eux aussi savaient que la terre pouvait se montrer généreuse ou se venger cruellement... Plus exactement à l'heure des voyages dans l'espace, l'homme doit comprendre qu'il ne doit pas ou plus abîmer le vaisseau sur lequel il est embarqué. Il y a 3 siècles, Voltaire pensait à l'horloger qui avait réglé cette minuterie parfaite. Aujourd'hui, on prend conscience que l'horloger est dans l'horloge et que l'homme est partie intégrante du mécanisme. Des groupes de méditants, ça et là, envoient leur pensées positives et « communiquent » ou « se mettent en communion » avec d'autres mondes ou d'autres dimensions de l'Univers. Ce n'est pas un hasard si le procédé est télépathique...

A 5 années de l'an 2 000 la science appréhende et comprend les 3 aspects de tout phénomène vibratoire ( tout phénomène est vibratoire, faut-il encore le rappeler). Cette triade comprend :

  1. l'onde électrique
  2. l'onde magnétique et les champs que ces ondes génèrent...
  3. le champ gravitationnel

Ce dernier est difficile à détecter. c'est à dire à détecter par nos instruments de mesures.

Ce sont des ondes de compression longitudinales comme les ondes sonores (elles sont capables de déplacer les objets dans l'espace). La nouvelle thérapie est de ce type : par une simple opération mentale on peut avoir une action assez peu différente de celle obtenue par de telles ondes.

Il y a dans ce cas une résonance entre le patient et le thérapeute, de la même nature que celle qui relie la guitare accrochée au mur avec le violon sur lequel vous jouez. Les phénomènes musicaux, la télépathie sont des phénomènes vibratoires, et l'Amour est du même type...