Introduction

NOUS VIVONS IMMERGES DANS UN OCEAN DE VIBRATION

Dans ce monde de la dualité, en notre incarnation, nous avons une vision de la séparation : nos cinq sens nous montrent cette réalité. Pourtant chacun est avec l'autre, à quelque niveau que ce soit en interconnection.

Nous sommes tous émetteur et récepteur pour pouvoir communiquer. Il suffit de trouver la bonne longueur d'onde pour que le contact s'établisse. A ce moment précis, nous sommes en affinité ou encore en phase comme le dit le langage courant, comme s'il s'agissait d'un courant électrique qui passe effectivement. C'est ce qui se produit en réalité. Nous comprenons, parce que nous vibrons avec, nous sommes sur la lignée Il suffit de se brancher. En fait, l'opération est plus facile à dire qu'à réaliser, sauf sur un poste de radio pour trouver une stationné

Cette analogie avec la radio ou la télégraphie sans fil n'est pas anodine. Elle nous indique déjà cette loi de la similitude révélée et enseignée par Hermés Trimégiste vingt siècles avant notre ère. Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Les mécanismes du monde des ondes, ceux de l'électricité, par exemple sont grosso modo assez identiques au monde matériel dense.

Elle nous fait retrouver la vraie réalité derrière le voile de nos cinq sens aux fenêtres étroites. Nous sommes interconnectés non seulement avec nos semblables mais aussi avec le monde minéral, végétal, animal, avec tout ce qui nous entoure : avec l'Univers.

Nous avons un corps onde*. Certains l'appellent corps énergétique, d'autres le corps électrique. Depuis longtemps d'autres encore connaissent le corps vital qui recouvre la même réalité.

Dans ce monde des vibrations, nous sommes une partie intégrante du Tout. La découverte du procédé holographique nous le confirme. Utilisé en photographie ce procédé reconstitue une image en trois dimensions. Si l'on sectionne une petite partie, on obtient en la projetant sur un écran l'image globale. Ainsi la partie permet de reconstituer ou en d'autres termes contient le tout. Le vide et le plein qui constituent le monde de la matière en est l'illustration. Ainsi pensons à cette image du noyau cellulaire agrandi à la taille d'une orange, ses électrons ne sont encore que des grains de sable qui gravitent à une distance de 5 kilomètres. Tout atome en effet ne remplit qu'un millième du volume, ses particules se déplacent dans un espace considérable ...idem le soleil. Or quelle force maintient l'ensemble en cohérence ? Sinon celle des champs magnétiques et du magnétisme en général.

NB : Le corps éthérique de la Terre est nécessairement constitué des champs électromagnétiques...

Or ce monde des vibrations n'a toujours pas pénétré en profondeur le mental conscient de nos contemporains. Et pourtant, ils les manipulent quotidiennement, sans cesse, à bon ou mauvais escient. Ainsi le soleil est capable de nous brûler, comme on le verra ultérieurement, si l'on exagère notre temps d'exposition.

Aussi on recommande aux habitants des villes dans leur première approche de prendre la précaution de se sensibiliser progressivement aux ardeurs de ses radiations... Et pourtant combien sont victimes chaque année, à l'époque des vacances d'été, de coups de soleil, d'insolations qui vont gâcher ce temps de repos ou de loisirs dont ils rêvaient de profiter au maximum !

Ce peut n'être qu'un simple coup de soleil, mais aussi le point de départ d'un mélanome : le cancer de la peau. En revanche, Le soleil par sa chaleur, sa lumière, nous réchauffe et nous dynamise, tant il est vrai qu'il fait pousser les végétaux et qu'il est source de vie... Ce monde des vibrations et des radiations qui nous entourent, dans lequel nous sommes immergés si l'on peut dire, comment nos contemporains y sont-ils sensibilisés ? Après bien des conversations, j'ai pu prendre conscience qu'elles étaient très mal perçues. j'ai pensé que seuls les jeunes qui n'avaient pas encore été sensibilisés et informés par les programmes scolaires adéquats, étaient dans l'ignorance.

Il m'a fallu me rendre à l'évidence que l'ignorance était quasi générale dans toutes les tranches d'âge de la population hormis l'exception d'un nombre très restreint de « spécialistes ». Par souci d'exactitude, ce constat d'ordre général me fit entreprendre un petit sondage auprès du système éducatif.

Par ce moyen, j'interrogeais les élèves ainsi que les maîtres et les professeurs que l'on pouvait suspecter d'être à l'origine de cette méconnaissance.

d'où ces quelques indications d'un sondage trop ponctuel et par conséquent partiel pour être considéré comme scientifique eu égard aux normes de la statistique.

Néanmoins les quelques indications, recoupées par de multiples entretiens dans un monde bien connu pour y avoir été inséré, restent aux dires de quelques consultants particulièrement significatifs.