Les croisements ou nœuds du réseau

Le mécanisme est le même pour tous les réseaux. Une ligne Nord-Sud et une ligne Est-Ouest, en se coupant déterminent en leur croisement un nœud. Ces croisements constituent tout simplement les fameux nœuds de nos réseaux. Or certains de ces croisements sont nocifs : ce sont eux qu'il va nous falloir détecter.

Tous les réseaux et en l'occurrence, le réseau de base et le réseau sacré peuvent générer à l'intersection des lignes qui forment leur résille des points particulièrement nocifs pour tout être vivant. Nous pensons à l'homme et à l'animal. Lorsqu'il est nocif ou pathogène c'est à dire générateur de maladie, les conséquences indésirables vont mettre, suivant les personnes, un temps plus ou moins long pour produire leurs effets.

Evidemment plus la personne sera sensible ou comme on dit réceptive plus elle les percevra rapidement. On a parlé depuis longtemps des maisons à cancer, on s'est aperçu très vite que ces endroits très perturbés pour l'être humain permettaient une résonance particulière que l'homme allait pouvoir transformer par l'intermédiaire d'une antenne de pierre. Cette antenne pouvait être une roche en place comme au Puy en Velay ou au Mont Saint Michel. Elle pouvait être un rocher rapporté à un endroit précis comme les pierres dressées : les menhirs, les obélisques ou ces constructions spécifiques que sont les clochers des églises ou les flèches des cathédrales. Ces antennes vont capter mais aussi transmuter en ces lieux l'énergie en question qui nous le savons, était négative, comme par la magie d'une véritable alchimie. On constate que l'équilibre de vie va être rétabli. Ainsi un point pathogène dont l'ionisation est positive verra son ionisation devenir négative en se chargeant littéralement d'ions négatifs. Cette transformation est vivifiante et salutaire pour l'être humain.

Ce processus s'est peut être fait au début plus ou moins inconsciemment, disons de manière empirique. Ensuite très vite l'homme a pris conscience de son action bénéfique et l'a reproduite systématiquement. Rien de surprenant : c'est pratiquement le processus de toutes les découvertes. Au contact de deux énergies dans la biosphère qui est son milieu naturel, l'être doit en réaliser la synthèse. Du sol ou de la terre il reçoit les énergies de la mère, négatives elles montent vers lui, mais reçoit également du cosmos les énergies positives. Il doit les accorder là où il vit ici et maintenant. Certains êtres, (comment l'ont-ils appris ?), savent d'instinct si la place qu'ils occupent leur est bénéfique ou non. En réalité ils perçoivent par une sensibilité que la plus grande partie d'entre nous ont perdue pour ne pas l'avoir cultivée. Le chien, le cheval, les animaux en général ont gardé cette aptitude. L'homme la possédait aussi, mais plus à l'écoute de son cerveau droit il a laissé sa sensibilité s'atrophier. Ce n'était pas le cas quand il était davantage en harmonie avec la nature. Un cheval n'ira pas, lui, dormir sur un point nocif. On a coutume de dire que si l'on veut dormir à la meilleure place dans une maison il n'y a qu'à prendre celle du chien. C'est un fait d'observation. Regardez le manège de votre chien pour se coucher quand il arrive dans un endroit ou une maison qu'il ne connaît pas pour passer la nuit et vous serez édifié. Il n'ira pas dormir même pour vous plaire sur un point négatif. En revanche le chat à une nature telle qu'il s'en arrange fort bien. Il les recherche. Près d'un radiateur s'il y a un point nocif pour lui c'est le paradis !

Là, où vous trouvez un menhir, il y avait auparavant un super point géopathogène. Si vous détruisez le menhir, ou si simplement vous le déplacez quelque peu, vous avez, sans le savoir, modifié l'équilibre énergétique du lieu. Nous verrons plus loin que bien des pierres dressées ont subi ces destructions ou ces déplacements imbéciles. Jacques Bonvin fait le même constat en ce qui concerne les églises romanes ; « que trouvons nous, écrit-il, dans un sanctuaire, un emplacement mauvais. Non seulement l'emplacement est mauvais mais nous dirons même qu'il est négatif sur le plan vibratoire. En effet nous constatons que plusieurs courants d'eau se croisent et une concentration anormale de lignes telluriques le long des murs. A cela s'ajoutent d'autres perturbations du sous sol, failles qui amplifient la nocivité. De plus l'expérience montre que quand la faille n'existe pas, elle a été recréée artificiellement par une crypte qui joue de manière dirigée le rôle de caisse de résonance ».

Dans ce très court extrait nous avons la démonstration magistrale de la connaissance de ces constructeurs qui savaient à volonté diriger et réguler le flux de la circulation cosmotellurique

Le Mont Saint Michel dans la visite de ses structures, pour qui sait percevoir, est un excellent exemple.

Depuis bien longtemps, maintes fois j'ai pu constater que sous les grands menhirs plusieurs lignes d'eau s'y entre croisaient reproduisant cet effet menhir, comme l'a relaté Blanche Merx dans ses ouvrages : les lignes de force sont perpendiculaires et partent de l'axe de la pierre. C'est justement sur un tel site que jadis les anciens érigeaient leurs menhirs, leurs obélisques.

Véritable acupuncture terrestre puisqu'elle rétablissait l'équilibre des lieux perturbés. Médecine capable de transformer pour l'homme une énergie perverse en énergie bénéfique extrêmement régénératrice. On trouve l'essentiel de l'enseignement légué par les anciens et transmis à la géobiologie moderne. Le triskel que l'on devine encore sur quelques monuments mégalithiques, malgré l'érosion et les lichens symbolise le mécanisme universel et le jeu de ses trois grandes forces cosmiques. Au plan physique, l'électricité nous les fait retrouver ; l'énergie plus (la phase) et le moins, le négatif, la troisième est celle qui permet aux deux autres de circuler jusqu'à destination, c'est la gaine isolante. Au plus loin que les souvenirs me portent j'ai pris conscience de ces forces naturelles il y a fort longtemps : j'étais tout gamin en vacances à la campagne. Le frère de mon grand père maternel resté à la ferme avait l'habitude après le travail de loger ses deux chevaux dans l'écurie. Celle-ci possédait trois boxes. Or il logeait ses deux chevaux toujours aux mêmes places. j'en vins à lui demander pourquoi il n'utilisait jamais la place restée vacante. « c'est parce que, mon garçon, me dit-il, si je mettais un cheval à cette place là, il serait nerveux, donnerait des coups de pied toute la nuit, ne dormirait pas et le lendemain il serait fatigué ». C'était assurément une bien mauvaise place ! Un demi-siècle plus tard, j'ai pu constater dans cette ferme, devenue résidence secondaire d'un Parisien (nous sommes à moins de 100 kilomètres de Paris) qu'il s'agissait bien d'un point négatif. Aujourd'hui, le local loge une automobile sur l'endroit en question.

Ainsi, que l'on en prenne conscience ou non, l'expérience nous apprend qu'il existe des lieux où l'homme peut séjourner sans risque parce qu'il y fait bon vivre et d'autres particulièrement malsains où il ne peut séjourner sans conséquences dommageables graves donc dangereux. La réaction pourra même être immédiate suivant le degré de sensibilité et les caractères héréditaires de la personne.

Mieux vaut savoir où l'on fait son lit pour dormir.

À propos du projet « Projet Dragon »

Malgré La thèse du professeur Rocard sur le pendule, les sourires en coin, les gens qui se poussent du coude, continuent d'accompagner celui qui se sert de son pendule en public. Pour être considéré comme sérieux mieux vaut utiliser au vu et au su des gens des appareils de mesures même s'ils sont moins performants.

Aujourd'hui cependant pour les études géomagnétiques on commence à disposer de toute une panoplie de magnétomètres qui permettent d'effectuer de bonnes mesures des champs magnétiques. Un Anglais Paul Devereux a réuni autour de lui une équipe composée de scientifiques et de sensitifs pour étudier le magnétisme des monuments mégalithiques. Il était arrivé à cette conclusion que les mégalithes levés, comme les pierres de Stonehenge par exemple servaient de conducteur à une énergie inexpliquée appelée énergie tellurique ou cosmotellurique. Ces pierres servaient de canal ou de relais à des courants qui circulaient sur des circuits coïncidant avec les leys ou alignements que d'aucuns appellent le réseau sacré.

Il travailla donc avec des sourciers et des magnétiseurs pour recouper les renseignements qu'ils pouvaient lui apporter avec ceux fournis par les scientifiques et leurs appareils. Son travail fut poursuivi avec méthode et rigueur. On aura compris toute la symbolique projetée par le « Dragon » puisque dans l'ancienne Chine on désignait par les veines de cet animal mythique le réseau des courants énergétiques terrestres.

En bref Devereux trouva, ce qui n'est pas pour nous surprendre que les menhirs possédaient des champs magnétiques que ressentaient les sensitifs en l'occurrence les sourciers qu'il avait employés. Ce qui recoupe les analyses des chercheurs qui se sont penchés sur les croyances et les pratiques populaires comme nous le verrons plus loin. Ceux-ci savent que depuis la nuit des temps on leur attribuait des vertus curatives. Beaucoup sont encore persuadés que les pierres guérissent... Les services hospitaliers des CHU (Centres Hospitaliers Universitaires) commencent à employer les champs magnétiques pour accélérer la cicatrisation des greffes de peau sur les grands brûlés. On s'est aperçu que l'on avait les mêmes effets sur la cicatrisation des fractures osseuses. On parle aussi d'une propension singulière aux phénomènes ovni à Stonehenge en particulier, le long des leys c'est à dire en relation avec le réseau sacré...

Parmi les relations des expériences rapportées par Devereux celle du magnétiseur qui en promenant sa main induisait une fluctuation du magnétomètre ; évidemment il s'agissait d'un déplacement de la main sur un endroit bien précis de la pierre. Le mégalithe en cet endroit particulier recevait une ligne d'influx magnétique perçu et retransmis par la main qui en avait détecté la résonance. La main est ici une partie d'une autre antenne, humaine celle-là.

Toutes ces observations nous confirment :

  1. Que les constructeurs des mégalithes percevaient les variations du champ électromagnétique terrestre, appelé encore cosmotellurique.
  2. qu'ils choisissaient leur site (l'endroit d'implantation) en fonction de ce phénomène, soit intuitivement, soit en connaissance de cause.

Les pierres commencent à nous livrer leurs secrets mais beaucoup encore restent cachés.