Les maisons à cancer

…ou les maisons qui tuent

En réalité ce n'est pas la maison en elle-même qui tue, mais le réseau sur lequel elle a été implantée. Il est très rare, pourtant que l'on ne trouve pas dans l'habitation un espace suffisamment sain ou mieux une zone neutre pour y établir son lit. Il suffit d'un point nocif en effet sous ce dernier pour générer, au bout d'une période de temps plus ou moins long, une pathologie. Les sourciers du temps jadis avaient établi la corrélation entre l'eau et la nuisance si bien que les anciens n'implantaient jamais une habitation sur une source, un cours d'eau souterrain ou quelque nappe aquatique parce qu'ils avaient pris l'habitude de les consulter. Souvent le puisatier remplissait cet office. Il savait se servir de la baguette de coudrier avec suffisamment de précision pour obtenir des résultats fiables. Au pendule, les plus experts vous donnaient la profondeur à atteindre pour obtenir l'eau et même le débit qui serait celui de votre puits à tel ou tel endroit. Il est vrai que l'eau est un excellent conducteur des négativités telluriques. Ainsi une ligne d'eau sous le sol est jalonnée de points négatifs presque sans discontinuité. Lorsque vous voyez un puits jouxtant la maison, vous avez un signe certain d'un écoulement souterrain sous la maison et déjà une quasi certitude de nuisance. d'autres indications sont données et répertoriées depuis longtemps comme zones perturbées par des points nocifs, notamment les régions affectées par des lignes de faille. Le long de ces cassures de l'écorce terrestre remontent les flux négatifs des radiations telluriques. Citons encore les cavités souterraines, grottes etc qui produisent un effet de résonance. Une citerne à mazout désaffectée enterrée dans un sous-sol peut produire cet effet. Il y a aussi parfois un filon de roche radioactive.

Dans les endroits particulièrement perturbés le réseau de base ou réseau « H » présente la plupart du temps un maillage rétréci j'en ai couramment rencontré qui étaient inférieurs à 50 cm. Nous sommes loin des 2 mètres sur 2,5 mètres de la « normale ». C'est le premier travail que doit effectuer le géobiologue car la corrélation est toujours significative : plus est serré ou petit par rapport à la normale, en d'autres termes plus la résille est réduite, plus grande et pour cause sera la fréquence des points pathogènes sur la surface considérée. On pourra en détecter facilement jusqu'à trois sur la place occupée par un corps dans le lit...

Blanche Merx a représenté dans son livre « l'Ame du lieu » ce phénomène par un petit dessin très évocateur et rempli d'humour : d'une fenêtre de son premier étage une personne est prête à se jeter par la fenêtre : c'est la conséquence de la sortie des démons. Sous le sol de la maison provenant d'un croisement de lignes telluriques, le Dragon sort par ce point pathogène. Le flux noir et puissant génère les négativités.

Il y a plus d'une cinquantaine d'années le docteur Lavaron parlait des maisons à cancer. Il donnait le conseil de quitter les lieux plutôt que de continuer à vivre dans une telle demeure au péril de sa vie. Son ami le docteur Peyré, l'inventeur des rayons qui portent son nom, relate dans les 25 dernières pages de son ouvrage paru en 1947 toute une série d'observations sur des cas de pathologie cancéreuse. Le docteur Peyré était depuis 1937 le président des médecins radiesthésistes de France.

On trouvera ci-après un tableau récapitulatif réalisé d'après les cas observés. Il est synthétique. Il permet de voir la distance du point pathogène depuis la tête du lit. On aura compris que le lit dans lequel tout être humain passe souvent plus du tiers de son existence est un endroit particulièrement indiqué pour faire subir à son occupant les nocivités sur lesquelles il est placé. On sait aussi que nos lignes ont une certaine épaisseur environ une vingtaine de centimètres, ce qui donne donc une surface génératrice de la pathologie d'environ 20 cm x par 20 cm. En passant on verra que l'être humain n'est pas le seul à pâtir des vibrations nocives. L'observation ne concerne ici qu'une étude sur la longue période ; voire souvent plus de 5 et même 10 ans dans la même habitation. Sur le nombre de cas intégrés dans le tableau plus de 50 % sont des affections cancéreuses indiscutables. Bien que l'effectif soit restreint, on remarque un coefficient 3 pour le cancer de la thyroïde, 3 également pour le cancer de l'estomac, 2 pour le cancer du sein.

Ma recherche personnelle recoupe en tous points celle réalisée voici cinquante ans par le Docteur Peyré. Ainsi les pathologies trouvent leur point de localisation sur les organes directement exposés aux radiations du point géopathogène ; La thyroïde, l'estomac, le poumon, le sein, le colon, ce sont les cancers les plus fréquents. Je ne rapporterai ici qu'un seul cas que j'ai pu observer. Une personne dans une maison qu'elle occupe depuis plus de 17 ans fait un cancer du poumon il y a 6 ans. Elle est soignée par chimiothérapie et semble avoir une rémission. Par intermittence elle quitte son domicile habituel et semble bien se porter. Pourtant, moins de cinq ans plus tard ses médecins parlent de cancer généralisé. Invité à voir sa chambre j'ai pu repérer un point géopathogène situé juste sous sa cage thoracique... Il m'est arrivé de constater souvent qu'un genou, une épaule, les lombaires mêmes développaient de cette manière une arthrose, un rhumatisme, sur la tête des insomnies et ensuite des dépressions. Le processus est toujours le même, qui est constaté par les géobiologues. Le constat, compte tenu du temps d'exposition :

  1. d'une fatigue ou d'un mal diffus
  2. une pathologie plus nette sur un organe défini
  3. un cancer déterminé et reconnu par la médecine officielle ou d'un cancer généralisé, cancer de réseau sang (leucémie) etc...

Des signes pour nous faire comprendre les évidences :

Il existe des signes pour nous faire comprendre, mais souvent la compréhension survient quand il est trop tard. A l'époque, j'avais atteint l'âge de 13 ans, mais même si j'avais eu 20 ou 30 années de plus, je n'aurais pas été en mesure de pouvoir faire les rapprochements nécessaires, n'étant pas encore pénétré par les réalités de la radiesthésie et de la géobiologie.

La maison dans laquelle vinrent habiter mes parents en 1941 avait été occupée, les trois années précédentes par une femme qui avait dépassé la cinquantaine et qui souffrait d'ulcères variqueux aux deux jambes. Elle se plaignait également de ne pas dormir depuis son arrivée. La précédente propriétaire y avait vécu plusieurs dépressions. Ma mère à son tour fut affligée en moins de 10 ans d'une très sérieuse arthrose des hanches et de rhumatismes. Elle mourut à 52 ans d'un cancer généralisé.

La structure de la pièce, étant donné la disposition de la cheminée, l'emplacement de l'escalier et des deux fenêtres faisait qu'il n'y avait guère, la grande armoire placée, qu'une seule position possible pour le lit, et cet endroit était néfaste, voire mortel : c'est là que les habitantes successives souffrirent de la négativité propagée par une ligne d'eau qui courait sous la maison pour rejoindre le puits situé à un mètre de la façade ouest.

Les maisons à cancers

OBSERVATIONS

LOCALISATION
depuis la tête du lit

PATHOLOGIE

N°1

1 mètre

Matrice*

N°2

10 cm

Insomnie

N°3

50 cm

Cardiopathie

N°4

sous le lit

Agitation, insomnie

N°5

bord droit : 1 mètre

Tumeur du caecum*

N°6-17-19

75 cm

Estomac*

N°7-8-16

35 cm

George*

N°9

une plante grasse

Morte dans la saison

N°10-13

50 cm

Sein*

N°11-18

1 mètre 50

Maux de jambe (genoux)

N°12

1 mètre

Anus*

N°14

entre 2 villas

un arbre mort

N°15

45 cm

Poumons*

* J.R. d'après Radiations Cosmotelluriques (rayon Peyré) 1947 page 79 à 108

J'ai encore en mémoire le sommier métallique qui est un excellent conducteur aux nocivités, comme j'ai pu le mesurer depuis. Ces signes sont évidents. L'enquête de voisinage que chacun peut effectuer auprès des voisins ou des habitants qui résident à proximité est souvent très révélatrice de l'état d'une habitation, mais le recul est insuffisant pour une maison neuve. Dans ce cas, il reste toujours l'utilité de faire appel à un géobiologue...

Aujourd'hui, un demi siècle, après le travail du Dr Peyré nous en sommes pratiquement toujours au même point. Un malade consultera un géobiologue comme un dernier recours, alors qu'il n'avait comme le proposait ce docteur qu'un geste à faire : déplacer le lit pour éviter toute cette misère. Certains médecins aujourd'hui, se rendant compte que les médicaments prescrits n'agissent pas ou sont quasiment inefficaces, incitent quelquefois leurs patients à consulter un géobiologue. Dans ce cas le géobiologue constate pratiquement toujours la présence d'un point négatif sur le lit de la personne. Les kinésithérapeutes se rendent assez bien compte si leurs soins sont efficaces ou non ; Ils pensent alors que l'habitation peut en être responsable et agissent de même.

Une amie kinésithérapeute m'envoie le plan succinct de la maison d'un de ses patients ; elle a pris le soin d'en bien préciser l'orientation à l'aide d'une boussole. Par retour de courrier je lui indique que la poitrine de son patient est sur un point négatif, qu'il est suffisant de repousser le lit d'un mètre vers la fenêtre. Le petit (huit ans) a déjà manqué l'école l'an dernier à cause de son asthme. Cette année cela fait trois mois qu'il manque l'école. Après avoir changé le lit de place, quelques jours suffisent pour que l'asthme guérisse et que l'enfant reprenne le chemin de l'école.

Le cas, encore, de cette jeune femme enceinte de près de cinq mois et qui commence à inquiéter son médecin parce que l'on ne voit toujours pas qu'elle attend un enfant. Un retard de développement que l'on n'explique pas. Sur plan, il m'est possible de déterminer qu'un point négatif est situé sur son abdomen. Elle venait d'emménager dans une maison neuve juste au moment où elle s'est trouvée enceinte pour reprendre l'expression consacrée. Il n'y a dans toute la maison qu'une seule ligne négative. Sa fille, dans la chambre voisine sur la même ligne, a un sommeil agité et perturbé depuis qu'elle est dans cette nouvelle habitation. Par téléphone pour gagner du temps, j'indique de pousser le lit vers l'autre cloison, à l'opposé. Ce qui sera d'autant préférable que le lit sera orienté au Nord. Et bien évidemment d'effectuer la même opération pour le lit de la fillette. L'enfant retrouve immédiatement son sommeil et la mère que je vais voir un mois plus tard, est, par les formes qu'elle montre véritablement enceinte ; Depuis elle a accouché d'un bébé qui se porte bien. Il serait fastidieux et sans intérêt de prolonger ici une énumération dont les résultats seraient identiques.

En résumé, il convient de dire que le processus est toujours le même. Il nous conduit à déterminer la place d'un point géopathogène qui est toujours la cause immédiate du trouble constaté. Le second constat est que la circulation énergétique des personnes qui séjournent sur un point négatif est perturbée. Elles se sentent fatiguées. Certaines vont jusqu'à évoquer le stress. On peut en faire la constatation de plusieurs manières. Manuellement par la palpation de « l'enveloppe » subtile de la personne. Au pendule certains y excellent. d'autres emploient l'antenne de Lecher. J'emploie personnellement pour objectiver le phénomène aux observateurs une très petite antenne qui ressemble à un radmaster minuscule. Il m'a fallu en fabriquer de plusieurs épaisseurs, et dans différents métaux, en argent notamment pour en revenir au laiton de 3 mm d'épaisseur et de 10,5 cm de longueur.

Avec cet instrument très simple j'obtiens une résonance avec une ligne d'énergie qui se situe à une distance moyenne d'environ 70 cm. Pour une personne stressée la résonance pourra se faire à 30 cm et même beaucoup moins si la personne est sur un point nocif. De la même manière la résonance en face de chaque centre énergétique que constitue chaque chakra est très significative. Il m'apparaît ainsi que l'ionisation positive nourrissant les points nocifs est la cause perturbante des organes (et avant eux sur les chakras qui les commandent). Il s'agit d'un rapport de longueur d'onde.

On verra plus loin que les champs électromagnétiques terrestres ont ou génèrent des perturbations identiques à celles des champs électromagnétiques créés par des installations humaines comme les lignes à haute tension, c'est d'ailleurs ce qui a justifié, faut-il le rappeler, le titre de cet ouvrage. Bien évidemment les causes des maladies renvoient également à l'individu et à ses dispositions naturelles, à son matériel génétique ou héréditaire comme on les appelle encore. Il n'en reste pas moins que l'entrecroisement des réseaux électriques et magnétiques Est-Ouest & Nord-Sud ou cosmotelluriques est à travers le sol de nos habitations responsables du développement de maladies souvent mortelles.

À propos du corps subtil

Un certain nombre de géobiologues se sont mis récemment d'accord sur le concept de « biochamp ». d'aucuns parlent d'enveloppes énergétiques.

Ces termes recouvrent la même réalité : celle de notre corps immatériel. Ils le décrivent comme réagissant au contact avec un produit qui peut être un aliment, un remède, un matériau... ou bien une personne. Il réagit aux couleurs, aux formes et aux sons (à la musique) et bien sûr à une zone géobiologique que l'on va considérer comme nocive si au contact de cette dernière le biochamp ou l'enveloppe en question se rétracte.

L'expérience est devenue classique de montrer comment il varie sous l'action de la pensée. Pour la connaissance de soi, on comprend aisément l'importance de cet acte réflexe du corps subtil parce qu'il indique de façon très précise ce dont nous avons besoin et a contrario ce qui nous est néfaste.

La Kinésiologie l'utilise dans le test bien connu du bras tendu. Il est aussi le reflet de notre circulation énergétique... Dominique Bourdin travaille sur les ECIS : les Enveloppes Conscientes, Intelligentes et Sensibles dont trois sont facilement accessibles.

La première correspond au corps physique, la seconde au corps psychique (le corps des émotions), le troisième au corps mental...

Janine Fontaine a répandu l'idée du corps onde. Les Maurois - Givaudan ont décrit « Les robes de Lumière ». Il s'agit toujours de l'aura « cette atmosphère spirituelle qui entoure les êtres et les choses ». Tous décrivent la même réalité... que chacun avec un peu d'entraînement peut apprendre à sentir avec la main et à voir...