Les légumes

Légumes racines

nom vernaculaire nom latin
ail Allium sativum
betterave Beta vulgaris
carotte Daucus carota
céleri rave Apium graveolens
chou rave Brassica gongiloïdes
crosne du Japon Stachys tuberifera
échalotte Allium ascalonicum
navet Brassica napus
oca du Pérou Oxalis tuberosum
oignon Allium cepa
panais Pastinaca sativa
pomme de terre Solanum tuberosum
radis Rafanus sativus
rutabaga Brassica campestris napo-brassica
topinambour Helianthus tuberosus

légumes feuilles

nom vernaculaire nom latin
arroche Atriplex hortensis
cardon Cynara cardunculus
chicorée Cichorium endiva
choux Brocoli Brassica oleracea botrytis
choux Bruxelles Brassica oleracea bullata gemmifera
choux cabus Brassica oleracea acephala
choux frisé Brassica oleracea
choux rouge Brassica oleracea
endive Cichorium Intybus
épinard Spinacia oleracea
fenouil Foeniculum dulce
laitue Lactuca sativa
mâche Valerianella olitoria
pissenlit Taraxacum dens leonis
poireaux Allium porrum
poirée Beta vulgaris
pourpier Portulaca oleracea
rhubarbe Rheum undulatum

légumes fruits

nom vernaculaire nom latin
arachide Anethum graveolens
aubergine Solanum melongena
concombre Cucumis sativus
coqueret du Pérou Physalis peruviana
cornichon Cucumis sativus
courge Cucurbita maxima
courgette Cucurbita pepo
fève Vicia sativa
fraises Fragaria grandiflora
haricot Phaseolus vulgaris
maïs Zea mays
melon Cucumis melo
pastèque Cucurbita citrullus
piment Capsicum annuum
poc poc Physalis pruinosa
pois Pisum sativum
poivron Capsicum annuum
tomate Solanum lycopersicum
tomatillo du Mexique Physalis ixocarpa

légumes fleurs

 

nom vernaculaire nom latin
artichaut Cynara scolymus
choux fleur Brassica oleracea botrytis

aromates

nom vernaculaire nom latin
aneth Anethum graveolens
basilic Ocymum basilicum
bredes mafane Spilanthes oleracea
céleri branche Apium graveolens
céleri feuille Apium graveolens
cerfeuil Anthriscus cerefolium
chrysanthème comestible Chrysantellum
ciboulette Allium schoenoprasum
coriandre Coriandrum sativum
cresson Barbarea praecox
estragon Artemisia dracunculus
flio Mentha pulegium
livèche Levisticum officinalis
menthe Mentha piperita
oseille Rumex acetosa
origan Origanum vulgare
persil Petroselinum sativum
raifort Cochlearia armoraci
romarin Rosmarinus officinamis
roquette Eruca sativa
sarriette Satureia hortensis
sauge Salvia officinalis
thym Thymus vulgaris


Tous ces légumes sont cultivés à la ferme. Chaque année, de nouveaux essais de légumes oubliés ou peu commun sont lieu. La culture de la biodiversité est un devoir du maraîcher. La semence est un patrimoine de l'humanité, patrimoine vivant que nous devons transmettre aux générations futures.

Les fruits

Le verger

La production fruitière permet d'élargir la gamme de produits mais ne représente que 2 % du chiffre d'affaire. De cet atelier sont produits le cidre, le vinaigre et le jus de pomme, soit 8 % du chiffre d'affaire.

Le verger, très diversifié, se compose de :

  • 150 pommiers (pommes à couteaux, à cidre),
  • 15 cerisiers,
  • 15 pruniers,
  • 20 poiriers,
  • 50 pieds de vigne,
  • 6 abricotiers,
  • 1 amandier,
  • des noisetiers,
  • des petits fruits : cassis, groseille...

Le cidre, boisson traditionnelle, se vend bien sur le marché (les bouteilles sont consignées). Une grande partie est auto-consommée.

Les variétés de pommes à cidre sont :

  • Kermerrien
  • Peau de chien
  • Marie Ménard
  • Douce de Coetligné
  • 3 autres variétés non identifiées.

Fruits

nom vernaculaire nom latin
abricot Armeniaca vulgaris
amande Amygdalus communis
cerise Prunus cerasus
figue Ficus carica
kiwi Actinidia communis
nèfle Mespilus germanica
noisette Corylus avellana
noix Juglans regia
pêche Amygdalus persica
pomme Malus communis
poire Pyrus communis
prune Prunus domestica
vigne Vitis vinifera

Petits fruits

nom vernaculaire nom latin
cassis Ribes nigrum
groseille Ribes rubrum
mure Rubus fructicosus

 

Les petits fruits sont marginaux car le temps passé à la cueillette est très long. La très grande diversité du reste de la production monopolise toutes les énergies.

La conduite

Le système de Jean-François est essentiellement maraîcher et lui laisse peu de temps à consacrer à la conduite du verger. L'objectif est quand même de tailler les arbres et les traiter (problèmes de chancre, de tavelure sur les poiriers surtout) pour augmenter le rendement. Les variétés de pommes de table représentent un potentiel intéressant. 1 tonne peut être produites avec une vente facile (le double pourrait s'écouler au marché). Cela implique un devoir de suivi du verger. L'année dernière, seulement 100 kg furent cueillies. Les conditions climatiques de ces derniers printemps ont géné les interventions (lessivage des traitements) et menacer de maladie. Heureusement les poules nettoient bien. Les arbres, avant le poulailler, étaient perdus sous les herbes !

Calendrier théorique

Il concerne le verger de pomme à couteau.

Automne

Traitement à la chute des feuilles avec la Bouillie Bordelaise en prévention.

Fin d'hiver

Traitement avant l'éclosion des bourgeons avec la Bouillie Bordelaise en prévention.

Janvier à mars

Taille et simplification de certains arbres.
Travail superficiel du sol.
Apport d'un peu de compost pour les arbres hors le poulailler.

Fin août à avril de l'année suivante

Récolte sur l'arbre depuis « Précoce de juillet » jusqu'à « Rainette d'Armorique ».

Ces variétés couvrent une grande diversité d'origine : 30 variétés locales, des variétés anciennes de différentes régions de France, des variétés modernes (« Fuji », « Delbar »...).

  • d'utilisation : pommes de garde, à cuire, à croquer, à compote...
  • de goût : douces, croquantes, moelleuses, acidulées...
  • de date de cueillette et de vente.

L'entretient du verger pour le cidre est plus aisé, les arbres étant plus résistants :

Janvier à mars

Petit élagage de rajeunissement.

Septembre à novembre

Récolte des pommes tombées à terre. Les variétés ont toutes une maturité précoce.

Pour les autres arbres fruitiers, la récolte se fait selon leurs saisons respectives. Leur production est insuffisante car les arbres sont soit vieux soit correspondent à des variétés peu adaptées au lieu. L'ensemble participe essentiellement à la beauté du site, à rendre agréable l'accueil des clients, à diversifier le biotope.

Le poulailler

Le cheptel

L'atelier a été créé en 1998 avec 150 poules, suite à la demande des consommateurs en oeufs biologiques.

Aujourd'hui le cheptel est composé de 90 poules pondeuses de la race « Isa-brown ». Cette race hybride produit des poules pondeuses industrielle.

Elles se répartissent en deux groupes distincts :

  • 69 poules habituées au plein air.
  • 21 poules de réforme nouvellement arrivées et provenant d'un élevage industriel bio.

Les parcours et abris

Les poules évoluent dans les vergers du Grand Clos (2000 m). Ce parcours se compose essentiellement de pâturin et de touffes de dactyle. Elles limitent l'enherbement et détruisent les larves et parasites des arbres fruitiers.

L'eau est assurée par un abreuvoir galvanisé de 15 litres.

Le groupe de 69 dispose sous les pommiers de 40 x 40 m en 2 parcelles avec un tunnel de 8 x 7 m pour abri, soit 12 m/poule.

le  poulailler
Poulailler sous le verger à la sortie de l'hiver


Le groupe de 21 dispose d'une parcelle sous les poiriers de 25 x 15 m avec un tunnel de 8 x 4 m pour abri, soit 18 m/poule.

Les tunnels de 6 et 4 arceaux constituent des abris faciles à installer et peu chères s'il s'agit d'occasions et/ou de récupération (notamment chutes de plastique).

Comme paillage, du son ou écorce de sarrasin est récupéré chez un minotier à prix coûtant en sacs de 25 kg. 10 sacs par an suffisent. Bien homogénéisé par les poules, il constitue un apport organique très intéressant.

L'aliment

Le grain est acheté par lot de 500 kg conditionné en sacs de 25 kg. Il s'agit d'un mélange, agréé bio, de céréales et d'une légumineuse : avoine, orge, blé, pois.

Un essai de blé et lupin a été un échec car le lupin, trop mou, ne passe pas dans le concasseur. Il faudrait un concasseur à marteau.

Matin et soir les poules reçoivent 13 kg de grains, soit 145 g/poule/jour en hiver. Dès mars commence la saison de ponte. La consommation passe à 220 g/poule/jour. La consommation totale estimée est de 6400 kg/an. Il faut 146 g de grains pour produire un oeuf.

Une poule boit 20 cl d'eau en moyenne par jour.

Eté comme hivers les poules bénéficient du parcours qui est enrichi des déchets de cuisines et de jardins.

De temps à autre la ration est complétée avec du maërl brut pour apporter du calcium et consolider les coquilles d'oeufs.

Les soins

Seul le groupe de nouvelles poules a posé un problème sanitaire. Du lot de départ, dès le premier mois, 5 poules sont mortes de coccidiose. Il s'agit d'un parasite de l'intestin provoquant des hémorragies. Les parasites sont le principal problème en bio. Cela s'explique peut-être par le changement de nourriture, donc de la flore microbienne intestinale, ainsi que du stress du changement de milieu. La vitamine K est un anticoccidient.

Le premier apport de vinaigre de cidre dans l'eau et l'isolement des sujets malades n'a pas suffit à les sauver. Le problème a disparu au bout d'un mois, lorsque l'apport de vinaigre est passé à 10 %, et que l'excès d'humidité a régressé. Les poules malades sont guéries et cicatrisées. Des rotations sont nécessaire pour éviter la propagation du parasite.

Les oeufs

La récolte est traditionnelle, manuelle, tous les matins.

La production est de 30 oeufs/jours en moyenne en hiver et de 45 en été soit une moyenne de 0,5 oeufs/poule/jour.

Tout stress des animaux est à éviter car il influe négativement sur la production.

histogramme des oeufs
Tableau 2001


Jean François ne reproduit pas à cause de la difficulté technique de la tache (température, aération, alimentation, suivi des poussins...) et du temps à consacrer.

La réforme

Tout les 2 ans le cheptel est renouvelé.

Les poules sont vendues prêtes à cuire au marché sur commande. Dès 10 à 15 commandes, les poules partent à l'abattoir situé à 15 km. Les poules sont récupérées sur le marché de St-Brieuc.

Poids vif : 2,5 kg, poids prête à cuire : 1,5 kg.

Avantages et inconvénients

Les avantages

L'éleveur considère ce poulailler peu rentable. Cependant l'atelier permet d'élargir la gamme des produits proposés (10 % du chiffre d'affaire). Les oeufs, dans son système de vente directe de légumes, est un plus que la clientèle apprécie énormément. Les poules prêtes à cuire sont aussi très demandées.

L'association poulailler arbres fruitiers donne d'excellents résultats.

L'atelier pose peu de problèmes, réclame peu d'entretien.

Les Inconvénients

Côté prédateur, et mise à part cette année d'un rat qui a dérobé plusieurs oeufs jusqu'à sa capture, le plus redoutable est le renard. Il tua une vingtaine de poules et obligea Jean François à compléter le cheptel. Ceci met en évidence la faiblesse du poulailler dont le grillage de clôture n'est pas suffisamment enterré. Une solution, comme l'adoption d'un chien de garde, est à trouver.

Malgré la race et l'âge commun des poules, les 2 groupes sont différents dans leur comportement :

Les poules venant de l'exploitation industrielle sont nettement plus agressives entres elles, moins belles d'aspect (pertes de plumes...), plus peureuses, plus stressées. Elles sortent peu, produisent peu. Le graphique montre un démarrage de la production en mars malgré la diminution du cheptel. Il est surtout le fait du premier groupe.

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Le cidre

Le soutirage

Cette année, 1,6 tonnes de pommes ont été cueillies. Elles ont été pressées le 11 décembre lors du passage du pressoir hydraulique itinérant, puis mise en tonneaux :

  • 2 barriques de 220 litres
  • 2 cinq-quarts de 275 litres

soit 990 litres de cidre à fermenter.

Etiquette cidre


Deux fermentations, alcoolique et acétique, agissent en même temps. Pour éviter l'oxydation, il faut remettre à niveau le liquide (6 litres ont été nécessaires). Les matières solides coagulent : c'est la décantation et la défécation. Il se forme un chapeau de mousse en surface et se dépose une lie au fond.  Une jauge permet de vérifier l'avancement des fermentations qui dépendent beaucoup de la température extérieur. Du gaz carbonique se dégage dans les tonneaux fermés.

Le 16 décembre a lieu le sous-tirage. Il s'agit de retirer à l'aide d'un tuyau de caoutchouc la couche de liquide intermédiaire par siphonnage sans perturber les strates. Au delà de 5 jours de fermentation (suivant la température ambiante), le liquide clarifié risque de se mélanger aux impuretés.

Une mesure donne une densité de sucre de 1062. Ce taux est élevé car les pommes étaient bien mûres. Le taux d'alcool prévu sur la table densimétrique est de 7,5. L'année dernière, pressé le 19 novembre, la densité n'était que de 1053. Les pommes avaient moins de sucre et avaient plus de pourriture noire.

Un seul soutirage est prévu car le cidre n'est pas destiné à être conservé en tonneaux mais mis en bouteille. Après cette opération, avec 10 % de pertes  en lie et fermentations, 1100 bouteilles de 75 cl sont remplies. Une partie sera auto-consommée.

le cidrier
Satisfaction de l'artisan devant un cru plein de promesses


Devinaille :

Tijié qu'est de boué et n'est pas en boué ?
Tjié qu'est rond, mais tjié n'est pas eun ballotte ?
Qu'a qu'eun oeil et tji n'y voit point ?
Tji va au marché su un pié ?
Tji va su l'io et n'y beille point ?

Réponse : la poum'

Devinette (traduction)

Qu'est-ce qui est de bois et n'est pas en bois ?
Qu'est-ce qui est rond et n'est pas une balle ?
Qui n'a qu'un oeil et qui n'y voit pas ?
Qui va au marché sur un pied ?
Qui va sur l'eau et n'en boit pas ?

Réponse : la pomme

Cette devinette a été écrite au début du 20ème siècle, époque où l'essentiel du marché des pommes à cidre se faisait par voie d'eau. D'où l'importance des « Cales » de Taden, de Mordreuc, de Plouër, etc... petits ports le long de la Rance.

L'atelier transformation

En général

Denise s'occupe de cet atelier qui est assez marginal et peu rentable. Il s'agit surtout de valoriser les excédents de culture, du 15 août à la mi-septembre. Les moyens mis en ouvre sont modestes et les transformations sont peu risquées en terme de sécurité alimentaire.

Le contact des clients au marché favorise la demande pour des produits du terroir.

Les ingrédients et les préparations ont le label bio.

La ratatouille

Elle se vend très bien en hiver. A chaque marché quelques pots sont achetés en majorité par des personnes seules.

La conservation se fait par la chaleur. La stérilisation a lieu dans un grand stérilisateur d'une capacité de 25 bocaux de 300 ml, dans la cave.

Les bocaux font 200, 300 et 500 ml. Ils sont équipés de joints spéciaux dont on coupe une langue pour les ouvrir. L'important est de ne pas souiller le bord du bocal au niveau du joint lors du remplissage. Des étriers maintiennent le couvercle durant la stérilisation. Elle dure 1 h à 100°C à coeur.

  • La température de stockage est celle de la cave (5°C).
  • La ratatouille se conserve très bien.
  • 150 bocaux furent produits en 2000 dont une partie auto-consommée. Il a fallu 5 h de préparation des ingrédients et 4 h de stérilisation.

La lacto-fermentation

La recette implique de nombreux légumes : concombres, cornichons, oignon, raifort...

L'acidité rend la conservation sans problème bactériologique.


lactofermentation


La pasteurisation se fait en novembre grâce à la location d'un pasteurisateur à jus au lycée agricole de Guingamp. L'appareil chauffe un volume en verre à l'aide d'une résistance électrique. La pasteurisation dure quelques minutes à 78°C à coeur. Les levures qui démarrent la fermentation sont tuées. Si la température excède 80°C le jus cuit et son goût change.

Les bouteilles sont placées dans une cuve d'eau chaude, puis remplies de jus et fermée aussitôt. En novembre, le refroidissement est très rapide. Quelques problèmes de mousse s'observe si la fermeture des bouteille n'est pas assez rapide.

25 kg de tomates remplissent 28 bouteilles après un travail de 6 h.

La réglementation

L'arrêté du 9 mai 1995, issu de la directive CEE 93/43 relative à l'hygiène des denrées alimentaires, réglemente la vente en direct.

L'objectif est de ne pas empoisonner les clients en proposant un produit microbiologiquement sain. Le producteur a une obligation de résultat, pas de moyen.

L'activité de Jean François n'intéresse que la DGCCRF. La DSV n'est concernée que par les produits animaux.

La réglementation est assez souple car, en vente directe, le producteur maîtrise complètement la chaîne de production. La traçabilité en est aisée. De plus, les végétaux transformés sont beaucoup moins sensibles que les produits animaux aux diverses contaminations.

La HACCP

C'est une démarche volontaire et non obligatoire permettant d'obtenir des produits de qualité sans altération, lors de leur transformation. Ce système identifie, analyse les risques possibles de contamination et détermine les points critiques où intervenir à chaque étapes du processus.

  • Autocontrôles : visuels. Les pots étant placés à l'envers, un couvercle ne tenant pas (par dépression) se repère bien.
  • Traçabilité : une étiquette complète est apposée systématiquement et la vente uniquement en direct.
  • Fiche de fabrication : les recettes proviennent d'ouvrages de cuisine présents sur le site.
  • Plan de nettoyage : Les ustensiles sont nettoyés au savon et ébouillantés à chaque fois.
  • Formation et compétence : Denise possède un BTS d'Économie Sociale et cerne bien la méthodologie.
  • Sécurité alimentaire, probabilité de dangers : la marche en avant sur le lieu et dans le temps est respectée. La stérilisation d'une heure, en fin de préparation, assure une marge plus que suffisante pour éliminer les germes. Les préparations, souvent acides, ne sont pas à risques.

Les améliorations possibles

Le nettoyage manuel des bouteilles de jus de fruit et cidre est fastidieux et long. Une machine de nettoyage est à trouver.

L'atelier mériterai un local spécialisé et propre, c'est à dire exempt de poussière. Cela permettrait de séparer la zone sale de préparation, de la zone propre de transformation.