Trois paramètres ou ratios pour faire l'état d'un lieu

Les trois mesures nécessaires et suffisantes qui nous permettent de juger de l'habitabilité d'un lieu ou d'une habitation sur le plan énergétique sont :

  1. La structure ou résille du réseau « H »
  2. Le taux global de négativité
  3. L'indice du climat général

Ces trois mesures sont d'ailleurs très étroitement en rapport les unes avec les autres comme l'on va pouvoir s'en rendre compte. Il m'arrive aussi de commencer mon travail par la troisième mesure, ce qui pourra à certains paraître plus logique.

L'étude de la structure du réseau « H »

Mais d'abord 2 rappels :

a) Le réseau « H » : Il s'agit du réseau constitué par les lignes magnétiques orthogonales Nord-Sud et Est-Ouest qui ont une largeur de 21 cms et qui à leur intersection déterminent les « nœuds » du réseau.

b) Les nœuds du réseau sont donc les croisements des lignes orthogonales (lignes qui se coupent à angle droit) les lignes N-S et E-W. On sait que la distance entre 2 croisements N-S doit être de 2 mètres et que la distance entre 2 croisements E-W est 2m50. mais ce que l'on sait moins c'est que ces mesures représentent une taille idéale qui par exemple dans l'Ouest de la France, zone magnétique particulièrement perturbée, ne se retrouve même pas une fois sur trois. Les mesures sur le terrain nous donnent des dimensions beaucoup plus petites. Or cet état de fait est d'une importance majeure ; Si l'on considère un réseau de 2m sur 2m50, la zone neutre, comprise entre les croisements qui peuvent être négatifs, est toujours suffisante pour y placer un lit et de ce fait, dormir confortablement. ce n'est évidement pas le cas; si la résille mesure 40 cms sur 50 cms par exemple. Ainsi Madame « L » se trouve sur son lit exposée à l'influence de 3 points négatifs...

On le comprend: la taille de cette structure du réseau « H » nous renseigne déjà sur les dispositions énergétiques du lieu considéré.

Une pierre dressée pour rééquilibrer le circuit cosmotellurique d'une habitation comme un « mini-menhir »

Le taux global de négativité

Cette mesure correspond à l'établissement d'un rapport très simple : Les points négatifs sont tout simplement rapportés aux nombres de croisements. Il n'est pas nécessaire de réaliser une étude exhaustive de tous les points, ce qui serait trop long et n'apporterait rien de plus. Avec un peu d'habitude, on détermine aléatoirement, ou si vous le préférez, disons à « l'intuition », une ligne N-S et une ligne E-W, suffisamment longues, soit au total une douzaine de croisements que l'on testera pour établir ce ratio. Cet échantillon est très souvent suffisant pour donner une bonne indication. Ainsi un taux de 1 sur 2 ou encore de 0,5 (ramené à l'unité) nous indique la densité de la négativité. Dans un cas comme celui-ci, lorsque la résille est petite, inférieure à un mètre, il est bon d'envisager d'avoir à rééquilibrer l'habitation considérée.

On conseillera, bien entendu, de s'assurer que la surface étudiée est homogène, il arrive assez souvent de trouver 2 structures différentes contigües, très rarement 3, excepté dans de très vastes édifices. Il existe plusieurs manières de procéder pour déterminer la négativité d'un croisement : au pendule, à la baguette, à l'antenne de Lecher, certains se servent de leur main etc.

Pour ma part, bien que je puisse sentir à la main ou par les pieds les négativités en question, par souci pédagogique, je demande à l'un ou à l'autre des habitants de la maison de bien vouloir se placer au croisement et avec une petite antenne, que j'avais fabriquée, il y a déjà pas mal d'années pour montrer les résonances sur le corps subtil ; je mesure alors la profondeur du biochamp de la personne. Si, l'antenne s'approche pour être pratiquement en contact avec le corps physique de la personne, il s'agit d'un point négatif. Si l'amplitude du biochamp de la personne est « normale » soit de 60 à 80 cms suivant les individus, le croisement est « neutre ». il n'indique pas de négativité. Cette pratique trouve une écoute attentive auprès des habitants du lieu, qui parfois ressentent eux-même les négativités.

Pierre dans un salon rue du Jerzual à Dinan. Elle ne dépare pas le lieu.

La troisième indication est celle du climat d'ambiance générale

Elle consiste en la mesure effectuée sur la règle de Bovis circulaire. On sait que le cercle est gradué en 400 grades. Pour obtenir les unités bovis avec lesquelles nos mesures sont effectuées, il suffit d'ajouter deux zéros à la division en grades. Le premier quadrant est celui de gauche, gradué de 0 à 100. On y trouve le repère des 6.500 unités bovis. En dessous il ne convient guère de descendre, car nous aurions un climat énergétique qui ne ressource pas un individu ordinaire du genre humain ou du règne animal, voire du monde végétal.

Ainsi aux environs de ce seuil, l'individu ordinaire de notre humanité se sent anormalement fatigué par un séjour de longue durée. Tout se passe comme s'il avait une grande difficulté à se régénérer et à vivre « normalement ». j'ai été amené à considérer comme un excellent environnement une demeure qui répercutait une résonance vibratoire de l'ordre des 10.000 unités bovis. Au delà, par ailleurs certains « hauts lieux » de vibration peuvent également ne pas être supportés par l'homme moyen...

Pour en revenir aux lieux situés en dessous ou aux alentours des 6.500 bovis, leur état énergétique, insalubre pour l'être humain en particulier, nous fait y découvrir de nombreux points et lignes négatives, un réseau dont le quadrillage est serré et en sous-sol de l'eau, des failles, des cavités, des filons radioactifs.

Voici à l'évidence, 3 paramètres qui permettent aux géobiologues un diagnostic précis pour leur travail de correction.

Lorsqu'il y a plusieurs menhirs, comme ici à Plumaudan, les différentes pierres travaillent en synergie.