Comment rééquilibrer une maison sous T.H.T. ?

Comment rééquilibrer une maison située sous une ligne à haute tension pour y séjourner sans dommage ?

C'est bien évidemment une interrogation majeure pour tous ceux, et ils sont nombreux, qui se trouvent aujourd'hui confrontés à ce problème. Il est évident que l'implantation des autoroutes électriques, les fameuses 400.000 volts (400 Kv) pour assurer la demande en énergie des usagers privés et industriels de nos pays occidentaux dits développés est la conséquence depuis un demi-siècle d'une révolution dans note genre de vie qui n'est pas sans conséquences. La Fée électricité commence, après la période euphorique, à montrer sa face sombre, lorsque l'on franchit certaines limites sans s'assurer des précautions nécessaires, comme on a pu le voir pour les êtres qui sont obligés de séjourner sous les lignes à haute tension. Cela concerne non seulement les humains mais aussi les animaux et même les végétaux.

On se reportera aux informations des nuisances sur un cheptel bovin exposé sous T. H.T. Ce chapitre est significatif : comment vit-on sous une ligne à haute tension. Le tableau « Résumé des modifications biologiques induites par une exposition aux effets des lignes à haute tension » au Québec, est un raccourci très révélateur.

On commence à savoir, malgré le silence ou la désinformation du matraquage publicitaire, que certains ustensiles sont nuisibles, tels le solarium, le four à micro-onde. On sait que certains pratiques sont peu recommandables, par exemple l'irradiation des produits alimentaires.

Tout ceci s'ajoute aux maladies iatrogènes, à la drogue etc... Chacun de son côté cependant s'efforce de ne considérer que cela n'arrive qu'aux autres et pourtant lorsque cela arrive, on se réveille avec l'impression de n'avoir pas été informé et d'avoir, si l'on peut dire, été piégé.

C'est ainsi que Monsieur « L » se retrouve avec la maison qu'il vient d'acheter, lui et sa famille, juste sous le flux malsain d'une ligne à très haute tension. Le pignon Est de son habitation est à la verticale du premier fil. Dans le lotissement, il avait pourtant visité la maison témoin, elle, à bonne distance de la ligne. La maison qui lui échoit et dans laquelle il emménage est dans la situation décrite.

Au début il ne s'inquiète pas particulièrement, tout à la joie d'être dans sa propriété ; et puis les lignes électriques, on en a l'habitude, ce ne peut être mauvais, on en voit partout... Il ne connaît pas ou n'a retenu que les bons côtés de la Fée électricité. ce n'est que trois ans plus tard, car il est, lui, de constitution plutôt robuste, que l'habitant prend conscience d'un certain mal être. Son épouse ne dort plus très bien depuis qu'elle séjourne dans cette nouvelle demeure et leur jeune fils non plus.

Monsieur « L » se sent stressé, électrique, lorsqu'il est chez lui. « Je dois reconnaître que lorsque je suis au travail ou ailleurs je me sens mieux. J'ai pu constater que mon sommeil n'était pas réparateur. » dit-il.

En ce qui me concerne, contacté pour aller me rendre compte de ce qu'il en était exactement, je dois dire que je n'avais encore jamais eu affaire avec une maison aussi bien située, si je puis m'exprimer ainsi, sous une ligne à très haute tension. Le climat général à l'intérieur de la maison, mesuré au niveau physique, indiquait une valeur en unités bovis de 6.400. Où que je me place, une sensation de froid s'insinuait le long de mes mollets jusqu'aux genoux !

La résille ou maillage du réseau de Hartmann est de l'ordre de 70/80 (70 cms N-S 80 cms E-W). pour individualiser les points négatifs et en même temps montrer aux occupants des locaux de quoi il s'agit, j'ai pris l'habitude de demander à une personne de se placer sur un croisement et je mesure son biochamp sur un point négatif : La mini antenne que j'utilise vient jusqu'au contact du corps physique de la personne en question. En zone neutre, l'antenne m'indique un biochamp de 22 cm, ce qui montre nettement la négativité des lieux. Le nombre de croisements est de l'ordre de 50 % (soit un sur deux).

J'ai pu constater que Madame « L », allongée sur son lit, à la place où elle dort habituellement recevait l'impact de 2 points négatifs ; ceci est évidemment à mettre en relation avec le fait que depuis qu'elle occupe cette demeure, Madame « L » a quasiment perdu le sommeil.

Monsieur « L » à la chance d'occuper un créneau en zone neutre. Ce n'est pas le cas du petit garçon qui est, lui dans sa chambre sur un point négatif et qui de ce fait ne dort pas. Aussi a-t-il pris l'habitude de venir dormir entre son père et sa mère, mais le point négatif sur lequel il est venu se placer ne lui assure pas une meilleure qualité de sommeil que dans sa chambre. A la suite de ce constat, la marche à suivre semble s'imposer :

1° Rééquilibrer le réseau « H » en plaçant 2 pierres (2 mini menhirs). Il se trouve que leur disposition est Nord-Sud, donc sur un axe sensiblement parallèle à celui de la ligne à haute tension. J'avais indiqué à Monsieur « L » que chacune de ces pierres devait, hors du sol, avoir une hauteur de 1 mètre 30. Une fois mises en place, je mesure alors un maillage de 1 m 80 N-S, 2 m 10 E-W. Au niveau physique, je peux noter une amélioration du Climat général : soit 7.700 unités Bovis. Comme d'ordinaire, à l'intérieur de la maison, on peut constater que tous les points négatifs ont disparu.

En moins de huit jours Madame « L » et son fils ont retrouvé le sommeil. La sœur de Madame « L », qui me semble posséder une bonne aptitude à la médiumnité se sent nettement mieux dans la maison quand elle vient rendre visite. Les biochamps mesurés s'étendent maintenant sur 52 cms.

La seconde opération me parait plus problématique, car il me faut sortir d'un savoir faire qui me semble aujourd'hui bien rôdé. Le problème est de trouver un moyen de « neutraliser » tout ou partie du champ magnétique de la ligne à haute tension voisine.

Dire que je n'avais pas une petite idée de ce que j'entrevoyais de faire quand je me suis présenté au domicile de Monsieur « L » serait inexact. Cette idée m'est venue, comme cela m'arrive, de temps à autre, la nuit : Je pense au problème à résoudre et après une méditation, une sorte de demande intérieure, j'ai l'impression ou plutôt disons que je suis impressionné par la réponse : une autre version de la formule de l'EUREKA d'Archimède en quelque sorte. Le phénomène est plus fréquent qu'on ne le pense... En général, l'histoire des découvertes nous apprend que l'on découvre d'abord expérimentalement et que l'on élabore les explications ensuite. De cette manière m'était arrivée, il y a quelques années déjà, l'idée d'équilibrer une habitation en disposant, en résonance avec son emplacement un mini menhir. C'est ainsi qu'agissaient ceux qui ont implanté les grandes pierres dressées de notre préhistoire...

Bref, il s'agit d'établir un contrechamp magnétique. Comme le disait le célèbre abbé Mermet, l'un des pères de la radiesthésie française : « Il y a ceux qui trouvent et ceux qui trouvent les explications ». Pour l'heure, je préfère me retrouver avec les premiers.

Pour ce faire, je me suis procuré dans une clinique vétérinaire des aimants à bovins. Ils sont utilisés pour être mis dans la panse des mammifères, et retenir en ce lieu, les clous et autres débris métalliques, comme un morceau de fil de fer barbelé, qui autrement auraient causé la mort de l'animal. Les aimants en question sont récupérés lors de l'abattage.

Les dits aimants disposés sur le pignon de la maison, en nombre convenable, permettent de constituer une sorte de contre champ magnétique.

Dans cette disposition qui n'est encore que partielle, (puisqu'une ligne sur les deux prévues a été mise en oeuvre dans le premier temps).

Cet appareillage permet maintenant d'obtenir les mesures suivantes :

1. Une ambiance générale de 8.300 unités bovis
2. Le biochamp des personnes témoins est maintenant de 62 cms.

La progression est particulièrement significative qui apparaît sur le tableau récapitulatif des diverses mesures effectuées lors de ce travail de correction des négativités induites par les deux facteurs :

A) le sol et le sous-sol
B) la ligne à haute tension.

d'où une démarche en deux étapes :

1. la pose des mini menhirs correcteurs du sol
2. la mise en place d'un contrechamp magnétique, ou d'un dispositif capable de rendre le séjour plus confortable à l'intérieur de l'habitation.

Il est évident que le comportement et les réactions des divers habitants, à ces différents dispositifs, doivent maintenant être pris en compte et versés au dossier pour le compléter.