Des radiations cosmotelluriques ?
Les radiations électromagnétiques, Pourquoi les rapprocher des radiations cosmotelluriques ?
L'utilisation des réseaux cosmotelluriques se perd dans la nuit des temps. On les domestiquait non seulement pour y construire la maison des hommes mais également les temples des dieux. On sait que c'est sur ces emplacements particuliers que les hommes des mégalithes avaient érigé leurs menhirs et leurs enceintes sacrées. Ils savaient, comme on l'a compris, déterminer les nuisances des croisements négatifs et possédaient le savoir faire pour les rééquilibrer. Il y avait chez les anciens parmi leurs prêtres, les savants de cette époque, des individus qui avaient développé leurs perceptions extrasensorielles de telle façon qu'ils pouvaient ressentir les endroits susceptibles de poser des problèmes. Ils utilisaient également une forme ou une autre de radiésthésie, pratiques secrètes ou magiques transmises dans les rituels d'initiation à ceux qu'ils avaient reconnu posséder des dispositions particulières.
A l'époque actuelle on a vu des personnes de toutes sortes s'adonner aux « sciences » de la radiesthésie, des ecclésiastiques, dont le célèbre abbé Mermet, des ingénieurs, des médecins, des architectes etc... Plusieurs pages n'épuiseraient pas la bibliographie de leurs ouvrages traitant de son objet. En géobiologie on commence à savoir qui était le docteur Hartmann pour avoir associé son nom au réseau « H », mais pour un retenu combien d'oubliés ? Qui se souvient aujourd'hui du dr Peyré, connaît encore cet autre médecin son ami Lavaron qui parlait lui aussi des maison à cancer ? Qui à part les spécialistes a lu Jean de La Foye ?
Qui connaît seulement les nom de Chaumery, Bélisal, Pagot etc... Tous se sont ingéniés à constater, à réfléchir, à travailler sur les radiations produites par cette énorme « bobine » en mouvement qu'est notre globe terrestre. Il génère les radiations dont on a pu apercevoir les conséquences sur les être vivants.
Aujourd'hui comme sous le coup de la baguette magique de la fée électricité surgit un autre sujet de préoccupation et d'étude. Tant il est vrai que dans ce monde de la dualité un phénomène a toujours ses deux aspects, sa face claire et sa face obscure. Elle apparaît, cette face sombre, un peu comme la partie immergée de l'iceberg des radiations électromagnétiques. Nous avons profité de leurs aspects bénéfiques nous les connaissons bien ou nous croyons bien les connaître. mais nous reviendrons sur ce sujet qui n'est pas si évident. Il s'agit avant tout de prendre conscience des aspect négatifs qui pourraient constituer pour l'être humain un très réel danger, s'il n'y prend pas garde.
L'utilisation de la force électrique a entraîné une production exponentielle de cette énergie, poussée par une consommation elle-même évidemment exponentielle d'objets de toutes sortes qui mettent en action un « moteur électrique » ou exigent pour fonctionner cette force spécifique. On pourra voir sur la courbe qui représente l'évolution de la consommation intérieure de la France, de 1930 à 1992 l'ampleur de ce phénomène. En pointillé j'ai construit la progression géométrique d'un doublement tous les 10 ans. Il faut penser que l'infrastructure doit nécessairement y être adaptée.
La courbe en noir représente un taux de progression régulier de 7 % par an, soit un doublement tous les 10 ans. (elle est exponentielle) De l'ordre de 20 milliards en 1940, elle atteint les 30 en 1950 (après la reconstruction). La production et la consommation intérieure d'électricité va suivre cette ligne de progression et la dépasser même vers 1965. Après 1978, le changement de pente est significatif. La croissance même divisée par deux représente encore un doublement en 20 années (soit 3,5 % par an). On comprend dès lors l'effort de l'EDF pour aménager ses structures de production et de transport du courant d'autant que notre consommation nette par habitant n'est encore que la moitié de celle des Etats-Unis, 1/3 du Canada, et 1/4 de celle de la Norvège.
Ces problèmes incombent à l'EDF qui doit pour répondre à la demande croissante, entreprendre d'augmenter la puissance de ses lignes ou d'en construire de nouvelles.
En 1975, l'EDF avait déjà été obligée, la tension de 150 Kv n'étant plus suffisante pour les transports d'énergie, de les remplacer par le 225 et le 350 Kv plus adaptés à des transports massifs d'électricité. Aujourd'hui on passe aux lignes de 400 Kv que l'on double : soit 2 lignes de 400 Kv établies en parallèle. Le réseau de Saint Laurent de Terregate mis en cause pour ses nuisances dans le précédent chapitre est de ce type. Nous pouvons penser que, une fois tous les ménages équipés en machines à laver et en robots ménagers, la production allait atteindre un palier. Il semble bien que nous n'en soyons pas encore là. De nouvelles innovations relancent la demande de cette énergie. Quelques exemples : les « vaporetto » commencent à faire un tabac. Ce sont des appareils de nettoyage pour sol, tapis moquettes et tentures etc qui utilisent de la vapeur d'eau sous pression. On commence à commercialiser la voiture électrique. Il faudra bien en recharger les accumulateurs... On fait actuellement une promotion publicitaire sur les ouvre-boites électriques !
Au niveau de l'entreprise ce sera la dissémination. Il est surprenant de faire l'inventaire d'un bricoleur en petits matériels de menuiserie, de soudure à l'arc etc... un foyer sur deux est « super équipé » (perceuses, scies circulaires), qui n'a pas son Karcher, sa tondeuse électrique etc...? Faites aussi l'inventaire du matériel que l'on trouve dans la moindre des fermes ou exploitations agricoles et vous serez surpris. Il y a encore tous les autres appareils qui utilisent les ondes hertziennes : les postes de radio, de télévision, les chaînes HIFI, les radiotéléphones, les talkie-walkie... Il y a tous les appareils de chauffage d'appoint ou autres : Les plaques chauffantes, les fours à pyrolyse et les fameux fours à micro-ondes... La dernière percée est celle des jeux électroniques sur console d'ordinateur...
Certains commencent à parler de pollutions électriques. Ils mettent en cause toutes les lignes de distribution du courant dont les lignes à haute tension, sur lesquelles il est prévu de revenir. ils mettent en cause tous ces matériels électriques qui par ailleurs nous rendent tant de services quotidiennement. Il est vrai que la face cachée qu'ils commencent à révéler ne doit pas nous laisser indifférents, mais au contraire nous inciter à la plus grande vigilance. Cette dénonciation porte sur les ordinateurs, les lignes à haute tension, les lampes à bronzer et plus particulièrement les solariums, les fours à micro-ondes et même les montres à quartz dont quasiment personne ne songerait à se méfier, sans compter quelques autres. Il y a toujours des esprits alarmistes qui enfourchent bien volontiers tout nouveau cheval de bataille pour nous persuader que nous « arrivons à la fin des temps » ou bien des esprits passéistes qui regrettent le temps de la marine à voile et de la lampe à huile. Mais à côté de ces gens, il y a ceux qui savent faire la part des choses y compris la part du feu. On n'arrête pas le progrès... mais lorsqu'une limite est dépassée, il est bon que les inconscients soient prévenus de ce qu'ils risquent en franchissant ces seuils. De la même manière que l'on ne va pas interdire en ville la circulation automobile, en revanche on y a établi des passages cloutés et des feux : ce qui facilite la cohabitation entre les piétons et les automobilistes. c'est aussi à l'Etat de promouvoir l'information et de protéger le consommateur en établissant peut être, s'il y a lieu, une réglementation adéquate, et d'abord en faisant déterminer par des commissions ad hoc les seuils en question.
Nous avons la faiblesse ou la naïveté de croire que dans nos sociétés les pouvoirs publics doivent aider à la protection du faible en l'occurrence, ici, celui qui ne sait pas et qui a besoin d'être informé pour qu'il puisse agir en connaissance de cause. On pense à ce qui a été fait pour interdire sur le petit écran et dans les lieux publics la publicité sur le tabac et les vins. Nous savons tous que la réglementation n'est pas la panacée. Nous connaissons autour de nous des fumeurs invétérés qui creusent leur tombe si l'on peut dire en connaissance de cause.
Il aura fallu une lutte opiniâtre des associations de santé publique pour mettre fin à cet abus d'autant plus qu'avec la SEITA (régie d'état du tabac et des allumettes) l'état était producteur. On pense aux alcooliques et aux malades du tabagisme qui encombrent les hôpitaux et les HP (hôpitaux Psychiatriques) et les salles d'opération. Et pourtant il y avait longtemps que l'on connaissait la corrélation des accidents de la route et du taux d'alcoolémie.
Emporté par ce trop long développement sur ces généralités, j'en arrive maintenant à ce mécanisme commun qui sous-tend nos deux types de vibrations. Dans le premier cas, le champ cosmotellurique est la résultante de cette énorme dynamo que constitue notre planète : la machine terre génère deux champs, un champ électrique et un champ magnétique qui se croisent perpendiculairement. Dans le second cas de la même manière, tout moteur génère ces deux champs ; mais tout influx électrique dans un conducteur génère lui aussi le même processus.
Pour le Docteur Peyré, les champs nés de la double rotation de la terre sur son axe et sur le plan de l'écliptique sont des forces qui résultent des réactions de l'électricité atmosphérique et magnétique terrestre plus encore des forces radioactives émanant de certaines roches. De façon certaine ces champs donnent lieu à des manifestations énergétiques hostiles. Vers les années 1925 Lakovsky avait fait état de ces manifestations négatives sur la cellule. Il montra comment elles affectaient une plante qui devenait malade (ou bien un arbre) parce que cette plante ou cet arbre ne trouvaient pas dans leur environnement un rythme adéquat de vibrations et qu'à force de vibrer à un rythme ou à une cadence contraire à l'équilibre de l'être en question, l'organe ou la cellule, son harmonie, perturbée finissaient par mourir. En utilisant un solénode de cuivre (spire enroulée dans le sens des aiguilles d'une montre vers le ciel, et spire enroulée dans le sens inverse vers la terre ; il laissait une distance de l'ordre d'un centimètre entre les deux spires), il réussissait par ce moyen à rectifier ou rééquilibrer le désordre constaté chez l'arbre ou la plante sur lesquels il expérimentait. De ceci dérive pour l'homme pour les affections rhumatismales l'utilisation de colliers ou de bracelets de cuivre. De la même manière que la physique actuelle le constate, ces champs qui sont perpendiculaires entre eux et avec leur direction de propagation génèrent des phénomènes d'inductions électriques et magnétiques responsables de l'apparition de courants induits à l'intérieur des objets conducteurs dont les êtres humains, le monde animal, le monde végétal ainsi que le monde minéral. Effectuer ces constats, est une chose : elle consiste à décrire des effets. Nous sommes toujours dans la partie émergée de l'iceberg. Mais dire ce que sont ces radiations cosmotelluriques. et électromagnétiques en est une autre. Nous ne sommes guère plus avancés d'énoncer que ce sont des phénomènes d'origine électrique. Pour l'heure la science officielle n'a guère dépassé ce cap. Nous ne pourrons le franchir qu'en prenant un peu de recul ou si l'on prend un peu d'élévation pour comprendre son origine. Ces vibrations sont inhérentes à la matière comme le magnétisme de l'homme est inhérent au corps vivant de l'être humain. Nous envisagerons une réponse ultérieurement mais il n'est pas inutile dès maintenant de vous reporter au chapitre de conclusion.