Le constat à l'intérieur des habitations
Itinéraire suite...
Ce chapitre se propose la poursuite de l'itinéraire mais à l'intérieur de l'habitation. La maison est un endroit où l'on vient se mettre à l'abri. On vient s'y reposer, pour refaire ses forces par un sommeil réparateur afin d'être frais et dispos avant la journée nouvelle. L'organisme est ainsi fait qu'il doit pour arriver à ce résultat être détendu, dans une ambiance paisible. Il convient donc impérativement d'être bien dans sa maison.
Or bien des gens vous disent qu'ils ne se sentent pas bien dans leur maison, qu'ils n'arrivent pas à s'endormir ou qu'ils font des cauchemars, qu'ils préfèrent se lever que de rester au lit pour un repos qu'ils n'arrivent pas à trouver. En fait leur sommeil n'est pas réparateur : ils se sentent plus fatigués au lever qu'au moment où ils se sont couchés ! Certains, suffisamment sensibles, ressentent les endroits nocifs et s'en tiennent éloignés. J'ai rencontré plusieurs personnes pour me dire : « ici ce doit être mauvais ». Et effectivement, à la vérification cela l'était. Il s'ensuit et c'est un fait d'expérience que certaines maisons finissent par stresser leurs habitants et à générer des pathologies, comme nous l'avons déjà vu avec les maisons à cancer.
Un certain nombre de coups de téléphone me parvinrent très vite tout d'abord de proches et d'amis au courant de mes manipulations ou de voisins intrigués par mes allées et venues sur mon terrain, baguette à la main. Un voisin me demandait si ma préoccupation à placer une pierre avait uniquement un but esthétique. Comme il en doutait, notre conversation prit un tour pédagogique et je lui appris à repérer par lui même le réseau du Dr Hartmann. Un autre se trouvant mal dans sa maison vint me chercher pour que je lui dise ce qu'il en était. Celui-là encore un ami kinésithérapeuthe qui venait d'emménager dans une maison neuve depuis trois jours avait constaté que son fils âgé de moins d'un an était agité et avait perdu le sommeil. Il suffit tout simplement de pousser le lit d'environ un mètre pour que tout rentre dans l'ordre dès le lendemain.
L'énumération pourrait être longue ; elle n'aurait ici guère d'intérêt. Je dirais simplement, que faisant partie sur le plan local de l'association Chrysalide au nom évocateur de cette évolution spirituelle que ses membres viennent chercher, j'y rencontrais suffisamment de personnes branchées sur ces questions qui m'invitèrent à y exercer mes talents.
Il me faut dire encore qu'appartenant depuis son origine à l'AIEV Association Internationale pour l'Energie Vitale, j'ai bénéficié entre autre de l'aide de Michel Bercot pour cheminer vers la Lumière qui m'apparaît de plus en plus présente... Actuellement je participe au groupe de guérison SMG (Santé, maladie, guérison). Ce groupe se réunit trois jours par trimestre pour travailler. Voici sept ans que nous avons pour la plupart commencé à nous réunir.
Dans ce cadre également l'assiduité et la motivation des participants peuvent expliquer sans doute le nombre et la richesse de mes expériences sans lesquelles je n'aurais pas évidement pu progresser.
Il me semble honnête de rappeler ce contexte et de dire encore mon hésitation à faire cette publication.
Aussi bien c'est sous la pression amicale d'un grand nombre de personnes qui m'ont assuré qu'elle pourrait rendre service à ses lecteurs qu'une édition en sera faite sous le signe du « Service ».
Cette parenthèse effectuée on trouvera ci-après un exemple de rééquilibrage d'une habitation par la pose d'aiguilles de pierre. Il n'y en aura qu'un parce que je puis assurer que d'une maison à l'autre le processus est toujours le même. Dans ce cas précis je suis intervenu à la demande expresse d'un ami qui est d'ailleurs venu me chercher chez moi. La personne qui occupe la maison depuis dix sept ans a été soignée pour un cancer du poumon, reconnu par plusieurs spécialistes. Elle a donc été soignée par chimiothérapie. Voici quatre mois qu'elle est en traitement quand je visite sa maison. Appelons-là : la maison de madame « L ».
Elle est située dans une ville importante de l'ouest breton, sur un terrain granitique de cette pénéplaine post-hercynienne faillée à souhait pour la découverte de points négatifs. C'est une maison neuve. Elle n'a jamais été habitée auparavant. Elle est construite dans un lotissement classique dont le plan et l'orientation ouvre la vue à l'est et à l'ouest. Le premier document, un extrait du plan masse permet de voir sa situation à l'intérieur du lotissement. Je l'ai choisie comme exemple parce qu'elle illustre bien cette catégorie de maisons à cancer dont nous avons déjà fait le développement dans un chapitre antérieur.
Le second document présente le maillage du réseau « H ». Il a été obtenu au moyen du radmaster ce qui est classique. Il montre une résille nettement plus petite que la normale. Il fait apparaître une ligne de discontinuité que j'explique par une faille Est-Ouest. C'est elle qui sépare les deux résilles l'une est de l'ordre de 70 cm et l'autre de l'ordre de 50 cm notamment dans la chambre occupée par madame « L » (la seule autre chambre de la maison est située, au dessus de celle-ci donc avec les mêmes correspondances énergétiques). On conçoit déjà à ce niveau de l'étude que la maison ne peut pas être très saine.
Le document n°3 nous permet de voir sur la résille, la disposition des pièces et des points qui génèrent plusieurs lignes négatives. On remarquera en particulier que le lit est fort mal placé. Madame « L » aurait pu subir l'impact d'une véritable ligne négative si elle n'avait pas pris l'habitude de dormir en chien de fusil déportant sa tête vers la ruelle du lit comme pour éviter le point qu'elle aurait pu avoir sous la tête. De la même manière elle évitait la négativité sur ses jambes. Elle n'évitait jamais pourtant celle située sous sa cage thoracique. J'ai recommencé plusieurs fois mes mesures en lui faisant occuper exactement la position qu'elle prenait pour dormir. En position couchée sur son lit elle recevait de plein fouet les vibrations du point pathogène sur la partie médiane et haute du thorax. Je pouvais en outre constater que son enveloppe énergétique se trouvait stressée parce qu'elle se trouvait être trop rapprochée de son corps physique.
Voir en annexe « Traitement par aiguilles en fer ».