L'inégalité devant la maladie

« Malgré leurs défauts, leurs diagnostics incertains et leurs nombreuses erreurs, l'humanité ne saurait se passer de ses médecins de ses chirurgiens et de ses hôpitaux. Elle en a un urgent besoin maintenant et pendant des siècles. Il faudra du temps pour amener l'humanité à un état de parfaite santé, mais dans l'espace de quelques décades, une bonne éducation psychologique dès l'enfance donnera dans ce sens d'heureux résultats ».

La question de savoir pourquoi nous sommes inégaux devant la maladie n'est pas sans porter le fer dans la plaie de ceux qui prétendent que nous sommes tous égaux devant la maladie. Cet égalitarisme forcené a pourtant de quoi nous surprendre. Il n'est que de regarder quelque peu attentivement autour de nous pour constater qu'il repose sur une contre-vérité. A propos de la maladie nous constatons tous les jours que personne ne réagit de la même manière aux attaques d'un virus ou d'une affection microbienne. Pourquoi, en effet, durant une épidémie, celui-là par exemple, sans prendre aucune précaution va passer, si l'on peut dire, à travers, alors que celui qui sera resté chez lui pour s'isoler et se soigner préventivement va se retrouver l'un des premiers atteints.

Et ajoutons encore pour notre sujet, la propension de certains à résister mieux que d'autres aux négativités des points géopathogènes. De la même manière et c'est là, toute la richesse de l'être humain, vous n'en trouverez pas deux qui seront identiques, par leurs aptitudes, leurs capacités etc... Ainsi certaines personnes vont-elles attraper dans l'enfance plus facilement la rougeole, une hépatite ou toute autre maladie. Il en est de même du processus qui mène au cancer que nous allons retrouver plus loin. On a reconnu depuis longtemps la notion de terrain dont le postulat simple est que la maladie n'est rien par elle même si elle ne trouve pas un terrain favorable pour s'y développer. Tout jardinier sait bien, qu'une graine semée dans des terrains différents ne pousse pas de la même manière. Il fait même intervenir son exposition à l'ombre, ou au soleil et prend en compte les phases de la lune etc. La recherche nous indique qu'une sensibilité particulière à une certaine maladie peut être déterminée par des gènes spécifiques. c'est l'une des dernière avancée de la science médicale actuelle. On parle des fameuses maladies génétiques. Ainsi en est-il de la trisomie 21 qui désigne le gène défectueux responsable du mongolisme. Le processus est identique pour la myopathie, la sclérose en plaque, la mucoviscidose etc. Le grand public y a été sensibilisé par le téléthon. Mais quand l'ADN aura livré tous ses secrets, la vie n'en continuera pas moins et sa progression posera nécessairement d'autres problèmes avec des germes mutants... La santé devra continuer son chemin sur la route étroite de l'équilibre.

l'on constate de la même manière les mutations chez les virus avec l'apparition de nouvelles maladies. Le sida en est une, eIle provient de plus d'une maladresse de manipulation, autre face de la génétique en question. Nous retrouvons cette inégalité d'ailleurs à un niveau plus subtil. Je me suis souvent posé la question de savoir pourquoi par exemple, une personne venait tout simplement se placer elle-même, dans un endroit malsain pour sa santé. Dans cet endroit elle va entrer en contact avec le germe infectieux soit en rendant visite à une amie, soit dans la salle d'attente d'un cabinet médical, soit dans le service hospitalier où elle avait décidé de se faire opérer. Pourquoi telle personne est-elle depuis 20 ans sur un point pathogène dans son lit, en train de mourir d'une récidive d'un cancer du poumon traité avec succès quelques années plus tôt ?

Pourquoi la personne qui partage sa couche, n'est-elle pas sur un point géopathogène, en d'autres termes, pourquoi se porte t-elle très bien ? Pourquoi l'une passe-t-elle à côté ? qu'a-t-elle fait pour cela ? Et l'autre ? Le seul constat que j'ai pu faire c'est que l'une en bonne santé n'était pas sur un point négatif, alors que l'autre s'y trouvait en train de mourir au dernier stade d'un cancer généralisé. Il est trop simpliste de vouloir considérer que les choses sont ainsi parce qu'elles doivent être ainsi. On est en droit de vouloir une autre réponse. Il est en tout cas certain que la science matérialiste passe à côté de faits essentiels et significatifs. Ce qui n'enlève pas ses mérites mais qui nécessairement les limite. Ainsi la négativité de certains lieux n'est toujours pas reconnue par la science officielle. Pourtant négliger cette cause de déséquilibre n'est pas anodin. Quand on sait reconnaître qu'une personne fragilisée par un séjour prolongé sur un point pathogène est peu réceptive à toute thérapie.

Nous assimilons cette fragilisation à celle que peut subir un être vivant, soit un animal ou un homme vivant exposé sous le champ magnétique d'une ligne à haute tension. Que penser aussi de cet acharnement thérapeutique destructeur qui détruit les cellules malades mais aussi les tissus sains, alors qu'il serait convenable de s'appuyer sur les tissus sains et de rétablir les défenses de l'organisme. Le discours dit scientifique nous apparaît dans nos sociétés comme un système de croyances basé sur le pouvoir d'un mandarinat qui organise ses dictats. Il en est ainsi de tout système qui se protège par un conseil de l'ordre assez étroit pour juger suivant la lettre et non l'esprit. Ce type de protection est surtout chargé d'exclure ceux qui ne sont pas du sérail, une autre sorte de purification ethnique...

Les Eglises d'ailleurs ne sont pas organisées autrement. Elles ont, en la matière, servi de modèle et fait école jusqu'au coeur de l'université. On ne peut que regretter cet état de fait, car tant que l'on n'aura pas l'esprit suffisamment libre pour juger si un système ou un processus est opérationnel ou non, il ne pourra être possible d'opérer les intégrations nécessaires. Il s'ensuit alors une limitation dommageable pour l'humanité. Protégée néanmoins dans un tel système, la médecine officielle protège l'incurie de médecins incapables et de chirurgiens massacreurs dont les trop nombreuses victimes jusqu'à ce jour ne songent guère à se plaindre. Pour quelques cas scandaleux qui remontent à la surface de l'information médiatique combien d'autres continuent misérablement leur vie diminuée par des infirmités post opératoires. Mais là nous retrouvons notre interrogation. Car statistiquement ces cas dont nous parlons sont infimes heureusement dans la masse des interventions réussies, compte tenu des risques de l'anesthésie dont le taux de mortalité est pris comme une constante. Je continue donc à me poser la question : pourquoi un tel ou une telle est-il (ou elle) tombé sur un médecin inapte ou un chirurgien « massacreur ». Pourquoi cette inégalité là ? pourquoi tel patient aura-t-il dans son lot la capacité de se trouver entre les mains de l'incapable, comme l'autre de se trouver sur un point géopathogène. Là, la loi est générale. La médecine n'est plus seule concernée. Malgré la garantie de diplômes des concours, le pourcentage de médecins ou chirurgiens malchanceux qui font mourir ou estropient leurs malades n'est pas plus considérable que dans les autres professions, les mauvais juges, les mauvais professeurs, les mauvais architectes etc... (De la même manière le mauvais prof s'il est titulaire, pourra au chaud dans son administration, continuer à sévir... jusqu'à la retraite).

Dans le circuit privé le médecin, comme l'architecte verra sa clientèle diminuer comme nous l'apprend la loi du marché (Elle suppose cette loi que la concurrence soit pure et transparente). Ce qui est rarement le cas. Posez-vous la question de savoir comment vous choisissez votre médecin ? Dans cette interrogation fondamentale dont je n'ai pas la prétention plus que vous de posséder la réponse, il m'arrive de méditer sur ce proverbe populaire qui me fut adressé bien des fois dans mon enfance et qui faisait toujours bondir : « les mauvais ouvriers ont toujours de mauvais outils ».

Peut être y-a-t-il plus de vérité qu'on ne le croit derrière les mots contenus dans cette phrase. Si la loi d'attraction est vraie et il n'en faut pas douter, elle est l'une des grandes lois cosmiques. Elle indique que les semblables attirent les semblables. On peut maintenant mieux peut-être se poser la question et tenter de donner une réponse. Pourquoi cette personne a-t-elle attiré ce chirurgien massacreur pour réaliser son opération ? Pourquoi cette autre personne a-t-elle été se placer sur un point géopathogène ? Dire que « c'est parce que, quelque part les vibrations de la personne et du chirurgien étaient en accord » est un raisonnement que nous n'acceptons pas volontiers parce que ce n'est qu'une première marche et que comme nous ne voyons pas les autres nous refusons de comprendre. La marche supérieure pourrait être :

  1. que nous avons un compte karmique à apurer ou à régler avec ce chirurgien
  2. qu'il s'agit dans tous les cas d'un signal qui nous est envoyé parce que nous refusons d'évoluer dans ce cas précis le chirurgien n'est qu'un instrument...

etc.