Toponymie et négativité des lieux

Il existe sur notre belle planète des endroits propices et radieux pour y vivre confortablement, et d'autres où la nature semble s'ingénier à nous créer des difficultés.

Les uns apparaissent par leur climat, la pureté de l'eau et de l'air, les fruits qu'elle fait mûrir et met à notre disposition, comme de véritables paradis. d'ailleurs les hommes qui y résident ne s'y sont pas trompés dans les appellations qu'ils ont données à la très grande majorité de ces lieux. d'aucuns souvent ne sachant pas à quelles causes attribuer leurs malheurs se croient « envoûtés » et accusent leurs proches voisins, d'avoir le mauvais oeil et de leur avoir jeté un sort. L'on trouve encore au cœur de nos campagnes profondes, et non seulement en Normandie ou dans la plaine Bérrichonne, une certaine prédisposition à accorder du crédit à cette sorte de justification. Ces histoires étaient monnaie courante, il n'y a pas encore si longtemps sans avoir à remonter aux chroniques du Moyen-Age.

Le processus est tout simplement celui de la « pensée négative » qui vient amplifier les nuisances cependant bien réelles du sol et du sous-sol. La toponymie, est la plupart du temps, susceptible de nous fournir des éléments d'indications essentielles. Le tableau ci-après, auquel on voudra bien se reporter est particulièrement significatif de cet état de chose.

Ainsi j'ai souvenance qu'en un lieu-dit, « Le Bas-Marais » un exploitant agricole était venu me chercher pour tester sa maison. Il s'est avéré que cette dernière présentait un réseau « H » d'un maillage inférieur à un mètre avec une densité remarquable de points négatifs puisqu'un croisement sur deux dispensait ses négativités dans l'habitation.

Le climat général, mesuré en unités Bovis ne dépassait guère les 6 500. Plusieurs lignes d'eau traversaient le corps du bâtiment dans le sous-sol. Bref, un lieu particulièrement insalubre sur le plan énergétique pour ne pas y construire une demeure !

l'homme avait d'ailleurs une autre idée en tête, si je puis m'exprimer ainsi, car, satisfait du climat qui régnait maintenant chez lui après la pose de 3 mini menhirs d'une hauteur de 1 mètre 30, il revint me chercher pour réaliser la même opération et harmoniser l'habitat de ses vaches, de ses génisses et de ses veaux. Une partie du cheptel était en effet assez mal en point : anémie pour les veaux qui se trouvaient sur des points négatifs ; mammites et paratuberculoses pour un pourcentage important des vaches laitières...

Leur habitat n'était, dans l'ensemble, toutes proportions gardées, pas mieux loti que la demeure des habitants avant la correction. S'ajoutaient encore, une prise de terre défectueuse qui ne remplissait plus son office et un éclairage par tubes au néon qui entrait en résonance avec les nombreux points négatifs.

Bref, le résultat, après la pose de 6 fortes pierres de 1 m 60 hors du sol s'est traduit par la disparition de tous les points négatifs dans le périmètre protégé des diverses étables. Le climat d'ambiance général est maintenant compris entre 9.000 et 9.500 unités Bovis.

Quelques jours plus tard, on me confirme que les bêtes sont plus calmes. Un mois s'est écoulé, les mammites se sont progressivement espacées et en voie de disparaître.

Les petits veaux ont repris de la vigueur...

La lactation s'est déjà améliorée.

Voici des patients pour lesquels l'« effet placebo » ne peut être allégué...

Cette expérience, m'a une fois de plus apporté la confirmation que les animaux étaient eux aussi sensibles à la mise en oeuvre d'un dispositif propre à rééquilibrer leur habitat et prompts à réagir aux modifications générées.

Une application encore de la loi d'INSÉPARABILITE loi universelle, en l'occurrence, ici, l'être et son habitat.