Un moyen de corriger les lieux et les habitations
Itinéraire, première approche
Après bien des réflexions, des mesures de toute sortes sur les sites de Bretagne, d'Ile de France. de Savoie ou d'ailleurs lors de voyages, aux U.S.A. en Egypte, Grande bretagne etc, après bien des lectures aussi, la conviction me vint que nos lointains ancêtres avaient eu accès à un savoir évident et cohérent, héritage plus ou moins direct des Atlantes...
Par ce savoir faire qui leur fut apporté et transmis par l'intermédiaire de ceux qui fuirent les cataclysmes en train d'engloutir leur continents, ils avaient appris à rééquilibrer à volonté des zones entières et des terrains peu favorables à l'homme. Ils donnèrent en ce qui concerne « l'ancien continent » deux lignes de pénétration : l'une par l'Egypte, la plus connue par sa prestigieuse civilisation de là elle entra en contact avec l'Inde, le Tibet et le monde Chinois. L'autre plus fruste, moins élaborée par ses monuments mégalithiques que certains appellent la civilisation des Hyperboréens, nom donné par les Grecs au pays du nord. Il y a l'Amérique où l'on continue (en Amérique du sud surtout) à découvrir des similitudes significatives avec l'ancien monde. Ce savoir commun a été le propre de tous les grands peuples bâtisseurs, comme nous l'avons déjà évoqué...
Ainsi l'envie me prit un jour, (j'avais acheté un terrain pour y construire une maison et y planter des arbres) d'expliquer pourquoi certains arbres étaient malades, pourquoi toujours aux mêmes endroits il fallait remplacer des arbustes dans mes haies. Quand j'ai commencé à bien cerner le processus j'en suis venu à essayer d'améliorer les vibrations dans mon habitat.
Tout a commencé avec deux pommiers que j'avais plantés moi-même, il y a maintenant 25 ans. Indiscutablement ils étaient malades. L'un en particulier produisait chaque année des chancres magnifiques que j'éliminais consciencieusement au sécateur.
L'arbre devenu adulte je ne pratiquais pas moins d'une trentaine d'amputations chaque année. Comme il était, sans raison apparente particulièrement penché, l'idée me vint de vérifier s'il était sur un point nocif ce qui se révéla exact. C'est souvent un signe qui ne trompe pas, comme chacun sait. L'arbre est fixé au sol mais il essaie d'échapper en quelque sorte aux vibrations négatives. Ainsi, j'avais eu l'imprudence de planter ce pommier sur un point géopathogène. Mon excuse à cette époque fut de dire que je ne savais pas grand chose en radiésthésie et en géobiologie.
Et pourtant quelque part je me sentais responsable sinon coupable. Depuis, quand je plante un arbre, je fais attention. Au début j'avais bien essayé de traiter cet arbre. Le pépiniériste à qui je demandais conseil se fit d'ailleurs un plaisir de me vendre différents produits chimiques. Je n'obtins au reste pas beaucoup plus de résultat qu'avec un cautère sur une jambe de bois. Le monde est ainsi fait que l'on utilise bien les produits chimiques sous forme de médicaments pour les humains. d'aucuns en abusent. s'ils sont inopérants, on vous en trouve d'autres... souvent tout aussi inefficaces. J'ai alors essayé la méthode préconisée par l'ingénieur Lakosvsky. Un solénoïde de cuivre mis en bracelet sur la branche malade. On trouvera ce dispositif dans son ouvrage. (Je profite d'indiquer ici que le livre de Jacques La Maya « la médecine de l'habitat » est une mine d'or pour les débutants et les autres « La médecine de l'Habitat » - J. La Maya Editions Dangles).
Puis, j'eus l'intuition de disposer une pierre à une certaine distance de l'arbre là où j'obtenais une résonance. J'obtenais une résonance à la main que je pouvais objectiver au radmaster. L'endroit où j'obtenais cette résonance était un point particulièrement négatif d'ionisation +. La pierre fait environ un mètre de haut, elle possède trois faces et donc trois arêtes.
Cette pierre a transformé la vibration d'ionisation positive en ionisation négative. elle a très sensiblement modifié le réseau de base. La conséquence immédiate pour le pommier est que le point nocif, cause de sa maladie, a disparu. Depuis l'arbre ne fait plus de cancer. L'arbre présentait un énorme chancre que je n'avais pas eu le courage de couper parce qu'il se trouvait sur une branche maîtresse plus grosse que mon bras. Aujourd'hui quatre ans après la pose de la pierre, le chancre est refermé. Il ne reste plus en témoignage qu'un gros bourgeon cicatriciel. j'installais également une seconde pierre, à l'endroit où le puisatier qui était également sourcier, voulait creuser mon puits. (cela fait un quart de siècle). j'avais refusé, trouvant que l'emplacement se trouvait trop proche de mon habitation. malgré ses arguments et pendule à l'appui il m'assurait que c'était le meilleur emplacement de tout le terrain. Je devais m'en souvenir plus tard. Car j'en retrouvais aisément l'emplacement. Il était super négatif et pour cause. En le retrouvant, je me rappelais ce que m'avait dit cet homme. Je ne fus donc pas surpris de cette retrouvaille... j'allais implanter une pierre, disons un petit menhir, là ou l'homme de l'art voulait que j'établisse mon puits.
j'ai déjà écrit que ce point était très nocif à vous faire froid dans la main jusque dans le bras. A son aplomb, cinq lignes d'eau s'y croisaient ; et ce n'est pas un hasard si l'une d'elle rejoignait mon pommier malade, posant au passage des problèmes à ma haie de troènes. En se continuant de l'autre coté de la route elle affecte la haie de thuyas de la propriété voisine, malgré le renouvellement de certains pieds toujours les mêmes, puisqu'il étaient replantés aux mêmes endroits. Jusqu'au jour où je conseillais à ce voisin de décaler les pieds de ses arbustes de 20 cm environ et de les remplacer par des lauriers palmes beaucoup plus résistants. Ce point particulièrement « mauvais » avait par la présence de ses nombreuses lignes d'eau une similitude avec bon nombre de menhirs que j'avais été étudier dans la région. Notamment celui de Saint Samson sur Rance. Or le fait d'avoir posé à cet endroit ma pierre avait transformé complètement les mesures que j'avais effectuées auparavant. j'ai constaté une inversion de polarité, comme précédemment. Avant la pierre, à partir du point en question le maillage du réseau qui était de l'ordre des 2 mètres, se réduisait brusquement à 1 mètre dans le sens Nord-Sud. une fois la pierre placée, le réseau se trouve rééquilibré c'est à dire revenu à la cote normale des deux mètres. Mes mesures me permirent de déterminer sa nouvelle longueur d'onde ou en d'autres termes sa couleur. j'utilisai les aptitudes d'une amie, magnétiseuse confirmée venue me rendre visite pour me rendre compte si par nos méthodes différentes nous parvenions aux mêmes résultats. Elle les confirma de la manière suivante : Elle posa une main sur la pierre et de son autre main elle chercha la résonance sur la ligne de ses chakras, en d'autres termes de ses centres éthériques. On trouvera ci-après les mesures relevées avant et après la pose de la pierre. C'est ainsi que je me transformais peu à peu en « Obélisk » local pour avoir appareillé, si je puis dire, un certain nombre d'habitations dans les environs. Ce fut un excellent enrichissement sur le plan pratique par la diversité et la richesse des cas rencontrés. Le fait est qu'étant à la retraite je pouvais me livrer à ce violon d'Ingres pour aider les autres. Je m'interroge encore sur cette nouvelle orientation qui me demanda une particulière conversion à 180°. En effet, alors que j'étais fort rationnel avant ce virage, quelqu'un m'a même dit un jour que dans un club de R.B.B. J'avais alors toutes les cartes pour en être élu président. Je me piquais au jeu, à l'étude de cette nouvelle voie, à cette pratique qui me permettait ainsi d'affiner mes aptitudes et ma nouvelle sensibilité.
Dans ce pays de Bretagne, le granit est quasiment partout. Il m'a paru être le matériau de choix pour ce travail de rééquilibrage. D'ailleurs n'était-il pas celui que préféraient employer, quand ils le pouvaient, ceux qui érigèrent les monuments mégalithiques ? Au reste, on peut assez facilement se procurer en carrière des éclats de cette pierre sans travail particulier. La pierre est brute d'un mètre de hauteur. Je la préfère à trois faces, sans doute par rappel du symbole du triskel, effilée vers le haut, comme une aiguille d'acupuncture dressée vers le ciel. Elles sont de véritables aiguilles d'acupuncture terrestre. Il reste bien entendu à les disposer à l'endroit adéquat et à pointer au nord la meilleure arête pour assurer la meilleure polarité et maximiser la correction.
Dans ce travail, le plus surprenant est sans doute pour les gens qui n'en sont pas avertis les transformations constatées :
- l'inversion de l'ionisation et de la polarité.
- la régularisation vers la normale de la résille du réseau donc du déplacement les lignes du réseau.
- de l'élimination de tout point négatif (ce qui n'est qu'une conséquence du n°1) Ces transformations sont réalisées consciemment et sont répétitives. Il suffit de déplacer la pierre d'une distance très faible (quand elle n'est plus en résonance avec la zone d'expansion du point négatif qui a été traité pour rééquilibrer la surface considérée) dans ce cas on retrouve les conditions antérieures.
Mesures concernant le point pathogène ou le puisation avait envisager de creuser le puit
1° Vibration du point avant pose de la pierre En unité Bovis = 4200 2° Après la pose de la pierre En unité Bovis = 44000 3° Etat du réseau « H » au Sud de l'endroit en question l'axe Nord-Sud a des espacements de 0 m 75 après correction les espacements sont de 2 m. |